Pan S. Keagan •• Beautiful Girl { U.c

Nom : Keagan.
Prénom : Pan Shye Kara.
Surnom ou diminutif : Ne trouvez-vous pas que Pan est assez court ? Sinon il arrive assez fréquemment qu'on l'appelle Shye.
Lieu de naissance : Londres, en Angleterre.
Date de naissance : 17 février 1992
Âge : 16 ans



Caractère :
Pan, dit-on, est une femme de caractère. Autant parait-il timide et naïve, autant il n'en est rien. En effet, la jeune fille sait jouer sur les apparences pour montrer une part d'elle qui n'existe plus aux autres. Il est vrai qu'enfant, elle était une fillette douce et fragile, cependant les années l'ont endurcies, les épreuves du temps lui ont apprit à résister aux envies lâches et passives. Aujourd'hui, Pan est une femme, une "vraie". Elle est de celles qui peuvent être gentilles avec ceux qui le méritent et dangereuse avec ceux qui font le mal.

Pan est une demoiselle qui est, il faut le dire, assez mystérieuse. A vrai dire, rien que son prénom attire l'interet des gens. Pan. Tapez dans votre moteur de recherche ce nom et vous tomberez sur diverses chose. La flute de pan. Pan, un roman de Knut Hamsun. Le labyrinthe de Pan. Mais Pan est aussi le dieu de la totalité, de la nature tout entière. Et c'est cette notion de nature qui convient probablement le mieu à la personnalité de la demoiselle. Elle même vous dira qu'elle a toujours été mieu en présence d'animaux plutôt que d'humain et pourtant, elle n'est pas misanthrope, un misanthrope voulant devenir médecin sans frontière, ce serait une drôle de situation n'est-ce pas ? Soit, ainsi il n'est pas étonnant de régulièrement la voir se balader dans la forêt et ce, peu importe l'heure, peu importe le temps. Étrangement, elle n'appeure pas les animaux, sauf les plus peureux, tel que les oiseaux ou les petits rongeurs, mais probablement que le fait qu'elle se sente bien en présence animale n'effrayent pas ces êtres vivants qu'elle trouve mille fois plus fréquentables que ses semblables les humains.

Pan n'est pas de nature peureuse. Que du contraire même. Enfant déjà on la nommait de casse-cou, du simple fait que haute comme trois pomme, elle escaladait tout ce qu'elle pouvait, que plus tard elle se livrait à coeur joie aux attractions à sensation qu'elle rencontrait dans les diverses fêtes forraines qu'elle fréquentait. Mais ce désir de sensation finira un jour par avoir raison d'elle. Sa prochaine expérience ? Peut-être le saut à l'élastique ou en parachute. C'est à cause de ce même désir d'aventure qu'elle décida, voici longtemps déjà, de devenir médecin sans frontières, malgré le fait que sa santé est censée l'en empêchait, à présent tout ce qu'elle espère c'est que sa volonté de fer l'aidera à réaliser ce rêve.

Malgré ses problèmes constants de santé, Pan s'efforce d'être la moins vulnérable possible en pratiquant divers sports tels que l'aikido, l'équitation, le volley et il fut un temps ou elle faisait du patinage artistique. Tout cela, en plus des cours pour lesquels elle étudie sérieusement, fait qu'il ne lui reste pas beaucoup de temps pour elle et qu'en dehors de l'école et de ses clubs sportifs, il ne lui reste pas beaucoup de temps. Malgré tout, elle continue à entretenir plusieurs rêves, celui de devenir MSF, faire un tour du monde, visiter le Japon de son imagination etc... Souvent on dit elle qu'elle rêve sans cesse, et c'est loin d'être faux, c'est même l'exacte vérité à une nuance prêt : Il ne s'agit pas de rêves fantaisistes mais d'expérience qu'elle veut réaliser au moin une fois dans sa vie.

Mais Pan est aussi une jeune fille qui inquiète. Oh pas dans le sens qui fait peur à tout le monde, il faut avouez qu'elle est assez faible, surtout quand elle est malade. Si vous marchez à coté d'elle dans la rue, autant savoir que ce n'est pas parce qu'elle est souriante que ses jambes pourront faillir sous son poid à peine deux secondes après avoir tourné le regard. C'est inquiètant, c'est vrai, mais il est inutile d'y faire allusion en présence de la demoiselle, qui culpabilise de cette inquiète qu'elle engendre.
Manies :
~ Pan ne peut s'empêcher de toujours chipoter dans ses cheveux, ce qui a le don d'en énerver certain. Mais voilà, si ce n'est pas une mèche qui tombe devant ses yeux, c'est sa tête qui gratte, si ce n'est pas ça non plus c'est qu'elle se recoiffe, bref, une vraie calimitée. Si c'est un signe que certain associe à la nervosité, il n'en est en réalité rien, c'est juste qu'elle ne peut s'empêcher de passer sa main dans ses cheveux.
~ Pan est une accro' au portable, malgré elle. Elle ne peut s'empêcher d'y jeter un coup d'oeuil toutes les cinq secondes. Cependant, elle a horreur de téléphoner, elle, son truc ce sont les textos.
Phobies : La solitude, les clowns, et les araignées ...
Amour : Malgré ses 16ans, on ne peut pas dire qu'elle ait déjà eut droit à un véritable amour.
Nature : ///
Don
///

Liens : Nouvelle à Forks.

Apparence Physique :
D'un point de vue physique, Pan est toujours en train de se diminuer. Elle se trouve banale, trop maigre, pas assez de forme, etc... Osez la contredire et vous vous ferez méchamment engueulé ainsi que traiter de faux-cul. Mais quoiqu'il en soit, on ne peut nier qu'elle est jolie fille, que cela lui plaise ou non. De long cheveux chatains, qu'elle attache ou non quelle importance après tout. Il lui arrive de les avoir plus foncés mais ne les teint en aucun cas, il varie de teinte selon les jours, aussi étant cela parait-il. Elle n'a pas la peau d'une pâleur extrême, mais elle reste blanche bien que le teint légèrement halé. Ce qui lui manque, c'est vrai, c'est un visage coloré, mais on ne peut pas dire que ce soit de sa faute... Son nez est assez fin, elle n'a pas à s'en plaindre mais ce qui attire le plus le regard dans son visage, c'est le bleu de ses yeux. Un bleu océan, profond et absorbant. Des yeux qu'elle mets volontier en valeur avec un discret maquillage. Par rapport à son corps, elle est assez maigre, et petite, pourtant ce n'est pas qu'elle ne mange pas, que du contraire d'ailleurs, avec elle, chips et pop-corn n'ont qu'à bien se tenir. Concernant ses vêtements, elle est assez féminine, sans être vulgaire. Si elle aime l'été, c'est parce qu'elle peut porter ses robes légères. Cependant, jamais elle ne sera vulgaire, ne serait-ce qu'un peu. Pour ce qui est de ses bijoux, elle en a toute une panoplie, des colliers, des bracelets, des boucles d'oreilles et j'en passe.

En gros, Pan n'est peut-être pas la plus belle fille qui soit, surtout que ses problèmes de santé l'ont particulièrement affaiblie, mais elle reste malgré ravissante.



Voir post spécial.


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First {Tout d'abord} -
« Je ne sais pas grand chose de la rencontre de mes parents, simplement qu'ils étaient deux, et d'ailleurs il vallait mieu, seul ça aurait été difficile de me concevoir. Ma mère s'appelle Ellesmera Vittorina Giordani. Italienne ? Non, Sicillienne. La différence ? J'en sais rien mais elle insiste alors je ne cherche pas à comprendre. Mon père se nomme George Keagan. Pas grand chose à dire de lui. Je suis née une nuit d'hiver, une naissance prématurée, certains disent que c'est pour ça que je suis telle que je suis aujourd'hui. D'après ce que ma mère m'a dit, je n'ai pas choisis le bon moment pour naitre. Biensûr c'est ironique mais elle n'a pas tort... Il se trouve que cette nuit-là une tempête de neige avait pris possession de Londres, empêchant mes parents de bouger de la maison ni même d'aller à la clinique la plus proche. J'ai donc vu le jour sur le grand tapis de la salle à manger. Tapis dont, personnellement, je n'ai aucun souvenir. Chance pour moi, ma grand-mère, une femme que certains appellaient la guérisseuse, avait déjà eut à faire face à de telles situations, ce qui est logique dans les villages dans lesquels elle a grandit. C'est d'ailleurs dans le village natale de la vieille femme que l'on déménagea peu de temps après ma naissance, un hameaux le lont d'une rivière dont j'ai depuis longtemps oublié le nom. Tout ce dont je me rapelle c'est que c'était en Irelande. Si là haut on me laisse le choix, j'aimerais retourner dans cette vieille maison une fois que je serai lasse de la vie, pour vieillir heureuse. Il faut dire que c'est là-bas que j'ai fais mes premiers pas, que j'ai dis mes premiers mots. Je me souviens encore des histoires que me racontaient ma grand mère au pieds du vieux chêne. C'est elle-même qui m'a apprit le respect, qui m'a enseigné le nom des plantes ceux des animaux. L'image que je garde d'elle est celle d'une femme éternellement belle. Si, comme les livres le disent, la lois du triple retour existe, alors cette beauté ne me surprend pas, elle qui a fait tant de bien autour d'elle. Elle pratiquait une religion qu'elle m'a apprise et qu'encore aujourd'hui il m'arrive de pratiquer; la Wicca. Certains la qualifie de secte, ils ont tort, et ne savent probablement pas de quoi ils parlent. Ce que je sais moi, c'est que cette religion se résument au respect de la nature ainsi que d'autrui et quand je prie, ce n'est pas à une puissance divine que je m'adresse mais à ce qui m'entoure. Chaque année je fêtais Yule en même temps que Noël, mes parents n'y voyaient d'ailleurs aucunes objections... La vieille femme décéda à mes dix ans. J'ai pleuré, beaucoup pleuré. Jamais elle ne m'avait parler de Paradis ou d'Enfer comme beaucoup racontent à leurs enfants, elle m'avait simplement expliqué, quelques semaines avant son départ, qu'un jour, son corps serait trop fatigué pour laisser son âme vivre en elle et que ce jour-là elle s'en irait. Elle m'avait dit que je pleurerai sûrement mais qu'il ne fallait pas être triste. Plus facile à dire qu'à faire. Aujourd'hui, il m'arrive encore de penser à elle, de revoir son visage, d'entendre sa voix. L'une de mes plus grandes peur est je crois d'un jour oublier son visage... »

Anecdote :
« Si je commence directement à mes dix ans, c'est à dire peu après le décès de ma grand-mère, on ne peut pas dire que la vie est aussi rose que certains le prétende. J'ai commencé à contracter une maladie, je ne connais plus le nom mais elle est incurable. Il s'agit d'une maladie dite orpheline qui affaiblit le système imunitaire. D'après les médecins, elle est génétique et pourtant aucun ne mes parents n'en souffre, probablement que cette chienne de maladie a sauté quelques génération mais avec le temps je m'y suis faite. Au début, mes séjours à l'hôpital étaient fréquents, je me sentais prise au piège entre les murs de ma chambre, j'étais stressée et nerveuse, fatiguée et malade. Les rares fois où j'allais à l'école je ne savais pas suivre les cours et cette maladie a bien faillit avoir raison de ma scolarité alors que je me laissais aller. On a déménagé à Chicago par la suite, sous prétexte que peut-être des médecins pourraient m'y guérir et que changer d'air me ferait du bien. Peut-être, mais alors mes parents auraient put choisir un environnement un peu moins pollué et plus rural, moi qui avait été habituée à vivre à l'orée du bois et sur les rives d'une rivière où l'eau était limpide et clair. Comme je le savais, les médecin de Chicago n'étaient pas plus compétant que ceux que j'avais déjà fréquenté, une chance qu'ils étaient un peu plus séduisant, j'en avais ma claque des vieux. Ma maladie s'était calmée d'elle même mais je restais tout de même faible. Malgré tout je continuais à aller à l'école. L'endroit que je détestais le plus je pense, je préférais encore l'hôpital. Les filles y étaient habillée selon la mode dictée par les star d'Hollywood, les noirs, les latinos, les bridés et les blancs se battaient pour ce qu'ils appellaient leur territoire... Pourquoi Chicago ? Il y avait tant d'autres villages qui auraient pu convenir mais non, Mme et M. Keagan avait décidé de venir dans cette ville grise et polluée ! Celà me faisait enragé, d'autant plus que je ne pouvais pas sortir de ma chambre, du moin, il m'aurait été difficile de voyager. J'avais quatorze ans quand j'ai "fugué", bien que je n'appelle pas réellement ça une fugue, si s'en aurait été une, plus jamais on ne m'aurait revu. J'avais simplement pris le bus pour aller à la forêt la plus proche. C'était à l'aube de l'hiver, il ne faisait pas très chaud, mais pas froid non plus. Le paysage était magnifique et me changeait des immeubles et building qui faisaient la vue de ma chambre. Je savais qu'il aurait été plus sage de rester au chaud avec ma famille mais non, je n'en pouvais plus d'être constamment enfermée, et pour une fois que je me sentais en forme, je ne voulais pas laisser passer cette chance qui s'offrait à moi. J'ai marché pendant une heure en faisant plusieurs pauses dès que mes jambes me faisaient souffrir. Je savais que je ne devais pas passer outre mes limites, que ça pouvait très bien m'être fatale mais je savais également qu'une minute de plus passée en ville, dans ce monde brusque et agité, m'aurait fait plus de mal qu'autre chose. Je finis par arriver au pied d'un sapin, un immense sapin. Enfin, il s'agissait plus exactement d'un pin, mais qu'importe. Il trônait au milieu d'une petite clairière et apportait à l'endroit un air majestueux, voir même magique, irréel. Il me rappellait le grand chêne. Les larmes faillirent me monter aux yeux. Le soleil était sur le point de se coucher pour laisser place à la nuit, les températures descendaient sensiblement mais peu m'importait, ça me faisait du bien, j'avais enfin l'impression de respirer, ça faisait si longtemps. Quelques épines de l'arbre recouvraient le sol et offraient un moelleux tapis, machinalement je m'y installa, savourant ces quelques instants. Je savais que je ne pourrai pas rester éternellement à cette place, même si j'aurais bien voulu, alors je profitais comme je pouvais de chacune de seconde qui passait. Après quelques minutes, je compris qu'il était temps de retourner à "la maison". Il faisait presque nuit. Je pris le dernier bus qui menait au centre ville. Devant l'immeuble dans lequel on avait emménager étaient garées plusieurs véhicules de la police. J'affichai une légère grimace avant de descendre du bus et de rentrer. Une fois à l'appartement, mes parents me sautèrent au cou, m'embrassant de toutes part.
PAN; Et, calme, j'suis juste partie faire un tour.
Je les avais inquiéter, je le savais, mais sur le coup, ça m'étais bien égal. Quoiqu'il en soit, je me sentais enfin revivre, et ça m'a beaucoup aidé. Je suis souvent retournée au grand sapin, au grand damne de mes parents qui se faisaient du soucis pour moi. Je me suis mise au sport, malgré les efforts conséquants que je devait fournir. Je me suis ainsi mise au patinage artistique, à l'aikido, à l'équitation et au volley. »


[/size]Transformation -
Mutation : [size=7]Réservé aux vampires & aux loups
garous, décrivez les premiers stades de sa transformations la
douleur, les sentiments ressentis à ce moment là ... {10 lignes}

Vie Actuelle :
« Aujourd'hui, j'ai seize ans. J'ai déménagé à Forks, sans mes parents cependant. Ils m'ont laissé ma liberté, et c'est bien mieu comme ça. Je suis contente d'avoir quitté Chicago pour une ville nettement moins grande et citadine et antipathique, bref, vous m'aurez compris je crois. Malgré un temps constamment couvert, je l'aime bien cette petite ville, il faut dire que ça faisait longtemps que je rêvais de mon retour à la campagne, ou du moins, à quelque chose qui y ressemble un peu plus que Chicago. Et puis, le calme y est tellement appréciable. Je ne fais pas partie de ces jeunes filles qui cherchent à rencontrer des gars en boite de nuit, ni de celle qui ont besoin d'un garde robe aussi grande que le palais de Versailles, je ne suis pas non plus de celle qui ont peur de l'air frais, qui n'ose pas bouger de peur de se casser un ongle, il suffit de regarder mes mains pour le remarquer. Plus de taxis jaunes, plus d'immeuble gris, plus de filles copiées/collées des magasines, je me croirais presque dans un rêve dans lequel je vois mon retour dans une vie qui me convient. »















Voilà (:

Whaou, j'accoche vachement à ton histoire
Je te valide !


Ps : Ta oublier Peter Pan => dans la recherche sur google lol