Elizabeth Stevens

Nom : Stevens

Prénom : Elizabeth

Surnom ou diminutif : Eli, Iza, Beth (Que d’originalité, ahem.)

Lieu de naissance : Liverpool

Date de naissance : 5 mai

Âge : 26 ans.



Caractère : {10 lignes, qualités & défauts dominants}

Sociable et chaleureuse, elle reste discrète et réservée. Elizabeth a toujours préféré écouter que parler d’elle-même.
Concernant les défauts, on peut privilégier le manque de confiance en elle, la jeune femme se remettant silencieusement en question. Peut-être est-ce son passé qui l’a façonné ainsi, le départ de son père, de son compagnon, l’accident, et ce qu’elle aurait pu faire ou non de mieux auparavant. Elle apprécie la solitude, bien qu’elle soit toujours présente pour ceux qui ont besoin d’une épaule ou d’une oreille. De glace parfois, elle a pourtant le sang chaud, n’aimant que très moyennement se faire marcher sur les pieds. Pourtant, elle se contient bien mieux si ça la concerne que lorsqu’il s’agit d’autrui. Dans sa jeunesse, oui, elle était considérée comme impulsive, et cela valait bien mieux qu’elle ne saute sur sa proie dès le début au lieu d’attendre silencieusement, étant ainsi bien plus dangereuse alors. De plus, elle peut manquer de sincérité, ou de franchise, comme il est préférable de le voir. Effectivement, Eli n’aime pas blesser, et se restreint au maximum, même si cela peut nuire en un sens. Elle n’est pas hypocrite, non, elle est… silencieuse. Sans oublier qu’elle s’attache trop vite aux gens, étant du genre à donner sa chance à chacun malgré ses à priori existants.
Pour ce qui est des qualités, la jeune Stevens est simple et facilement supportable, et même si elle peut être curieuse, elle ne se laisse pas mener par ce trait de caractère. Plutôt souriante, c’est une femme qui donnera du réconfort à chacun, restant compréhensive et à l’écoute.

Manies : Euh, là, à l’esprit, aucune ne me vient.

Phobies : Quelques peurs oui, elle est humaine après tout, mais concernant les phobies… Je ne pense pas qu’il y en ait.

Amour : Elle le respecte mais ne veut plus en entendre parler.

Liens : Non.

Apparence Physique :

Brune, ses longs cheveux ondulés lui tombent dans le dos, et encadrent un visage avenant. Ses yeux clairs sont peut-être ce que l’on remarque en premier lorsqu’on la regarde. Eli possède une peau assez pâle qui fait justement ressortir ses lèvres finement dessinées, peau qu’elle tient du coté de sa mère sans aucuns doutes. Elle n’est pas femme à se maquiller, ni à chercher la complication dans sa tenue. Plus souvent vêtue de jeans, tee-shirt et gilet que de robe ou jupe, il sera rare, voir même très rare de contempler ses jambes. Elle n’est pourtant pas disgracieuse, bien au contraire, sa silhouette – encore une fois merci maman et la danse – reste fine, bien qu’on ne le remarque que peu, la jeune femme ne se mettant pas réellement en valeur. Depuis son accident de voiture, elle ne peut plus vraiment courir comme elle aimait à le faire autrefois, elle se contente d’exercices d’assouplissements, mais n’est plus apte à forcer de trop sur sa jambe gauche.



Personnalité sur votre avatar : Zooey Deschanel.

Âge : 19 ans.

Girl or Boy : G

Double compte {à édité si oui plus tard} : Non

Comment avez-vous connu le forum ? : Par votre partenariat avec Crépuscule.

At First :

Thomas Jefferson n’était pas de ceux qui croient en l’amour. Pour lui, un sentiment aussi aléatoire et dangereux ne pouvait le toucher, puisqu’il en avait décidé ainsi. Ses parents lui avaient montré un bon exemple pour étayer son point de vue. Divorcés après cinq pauvres années de mariage, chacun d’entre eux s’était tourné vers d’autres compagnons. Et lui, enfant unique avait été ballotté de maison en maison, connaissant de nombreux beaux parents différents. Peu lui importait que ses amis tentent encore et toujours de le coincer dans quelques soirées dont ils avaient le secret, pour tenter de lui faire changer d’avis. Il gardait ses idées fixes, un sourire narquois tourné dans leur direction à l’occasion.
Comme toujours, avant de rejoindre son bureau, le jeune homme faisait une halte au café du coin, et généralement, il n’avait pas posé son manteau à sa table habituelle que la serveuse arrivait avec sa commande. Néanmoins, ce jour là, la tranquillité à laquelle il s’était accoutumé s’était vue brisée par l’arrivée d’une nouvelle cliente. Celle-ci, complètement trempée par la pluie qui tombait en trombe à l’extérieur du café, s’évertuait à fermer son parapluie, en vain. Thomas s’attarda sur les fines rides qui plissait son front, puis laissa ses yeux cheminer sur le reste de la silhouette. Brune, ses cheveux s’égouttant sur le tapis de l’entrée, il lui semblait qu’elle possédait une taille faite pour ses mains. Un sourire vint étirer ses lèvres tandis que la jeune femme s’acharnait toujours sur son parapluie. Poussé par son élan, il se leva de sa chaise pour rejoindre la demoiselle.

- Puis-je vous aider ?

La voix qui venait de s’adresser à elle se fit chaleureuse à son oreille, ce dont elle avait besoin en cet instant. Laure leva finalement les yeux vers son interlocuteur et fut frappée par le regard que l’homme posait sur elle. Elle s’efforça de reprendre ses esprits avant d’acquiescer et de tendre son maudit parapluie. Le sourire qu’elle reçu en échange faillit provoquer un raté à son cœur tout comme lorsque leurs mains se frôlèrent pour s’échanger l’objet.



- Papa !! Nick m’a mordu !
- Quoi ? Nick, tu as mordu ta sœur ? demanda Thomas, incrédule.
- Mais non ! C’est une menteuse Eli !
- C’est pas vrai d’abord, bouda la fillette de quatre ans. Regarde papa ! Regarde mon bras ! Continua-t-elle, en montrant avec force, le membre où trônait une trace de dents parfaite.
- Mais, qu’est-ce qui t’as prit Nick Jefferson !! Tonna le père de famille.
- Elle… Elle voulait pas lâcher la télécommande !! C’est d’sa faute !

S’ensuivit pleurs, cris et menaces de punitions qui, comme tout le monde le savait lorsque l’on connaissait Thomas, n’auraient pas de suite. L’homme tenait beaucoup trop à ses enfants pour cela, au grand dam de Mrs Jefferson, qui devait batailler ferme pour établir un semblant d’autorité dans leur petite maison.
Celle-ci, se tenant dans la cuisine leva les yeux au ciel en entendant la dispute dans la pièce à coté. Bientôt, une petite fille en larmes vint se jeter dans ses bras, sa mère l’accueillant les bras ouverts.

- Mamaaaan !
- Chuut, tout va bien, Elizabeth, calme toi, souffla-t-elle doucement à sa fille.

Elle la garda contre elle, attendrie par le petit corps prit de quelques sanglots, et la pensée qu’elle ne tiendrait plus dans son ventre à présent lui traversa l’esprit. Laure aimait ses enfants et son mari plus que tout au monde, et elle remerciait le ciel pour ce bonheur qu’elle savourait chaque jour. La jeune femme âgée de trente et un, était orpheline depuis de nombreuses années. A présent, elle n’avait plus que sa jeune sœur et sa propre famille et elle savait chérir ces liens auxquels elle tenait sans limites.



Elizabeth avait toujours été entière. Une enfant vive, et attentive malgré tout. Elle aimait sourire, et parler aux gens, donnant sa confiance avec une certaine naïveté qui pouvait à la fois terrifier et émerveiller sa mère. Les années passant, la demoiselle avait du prendre le chemin de l’école, protégée sans le savoir par la présence de son grand frère dans la cour supérieur. Il gardait toujours un œil sur elle, protecteur comme pas deux, même si jamais, ô grand jamais, il ne l’aurait avoué à qui que ce soit. Tous deux continuaient de se chamailler, cela étant devenu comme une habitude entre eux deux, habitude à laquelle ils n’auraient renoncé pour rien au monde, tenant l’un à l’autre, quoiqu’ils en disent.
A huit ans, Eli commença les activités extrascolaires, essayant tant les sports que le domaine artistique. Finalement, après quelques essais diverses, elle poursuivit ses efforts en danse, aïkido, piano et violon, sous les yeux attentifs de ses parents, sa mère n’étant pas certaine que poursuivre autant d’activités pour une si jeune enfant soit une très bonne idée. C’était sans compter sur le caractère bien affirmé de sa fille, qui n’était pas d’avis à laisser tomber quoi que ce soit. Au fil des ans, cette décision lui donna raison, à fortiori lorsqu’elle se vit discerner un prix pour sa prestation au violon lors de ses douze ans.

Anecdote : {enfance, adolescence, rencontres, évènements heureux, malheureux - 10 lignes}

Elizabeth ado ?
Ce n’est pas très compliqué à comprendre, quelques mots suffiront. Sociable et renfermée. Froide et chaleureuse. Studieuse et sang chaud. Oui ? Quelques explications à la définition donnée au terme « compliqué » ? Ah…
La jeune fille a continué à grandir, affirmant peu à peu son caractère à la fois bien trempé et calme. Elle apprécie la solitude, pouvoir se retrouver avec elle-même et ses livres, tout comme la présence d’autrui. Sociale de nature, elle va vers les gens, et attends qu’ils s’ouvrent à eux, quand le moment est venu. La demoiselle a poursuivi la musique, s’enfermant parfois dans sa bulle, dont de rares personnes pouvaient l’en faire sortir. Le collège fut une période tranquille, et parfois douloureuse aussi. Les premiers coups de cœur, les premières amies sincères, et malheureusement, les premières trahisons. Elle apprend à comprendre le monde, à s’interroger sur son avenir, et sur les personnes qui l’entourent.
Eli ne s’intéressait que peu aux garçons, sauf si cela concernait l’une de ses amies. Néanmoins, cela ne l’empêche pas de les observer, et de saisir les différences qui n’existaient pas lorsqu’elle était plus jeune. C’est peut-être son instinct ou cette compréhension d’autrui qui l’avertit, bien plus tôt que son frère ou sa mère d’ailleurs. Mais jamais, elle n’aurait songé que le futur de sa famille se présenterait ainsi. Aimant chacun de ses membres, elle rebutait à croire ce qu’elle soupçonnait et qui lui faisait peur.
Son père, celui qui avait toujours tout fait pour eux avait prit une maîtresse. Le doute ne fut plus permit, le jour où, de ses propres yeux, elle le contempla embrassant une autre femme que sa mère. A quinze ans, le monde bien rangé d’Elizabeth Jefferson s’écroula. Au début, elle garda silence, ne sachant pas très bien comment agir. Puis, la confrontation eut lieux, entre son père et elle. Il avait finit par comprendre qu’elle était au courant, au vu de ses gestes, de sa conduite auprès de lui, de sa façon de s’exprimer, et des regards qu’elle lui jetait de temps à autre. Comprenant qu’il avait assez joué, il prit la résolution de parler à sa femme.
Elizabeth ne se souvient pas très bien de cette période, comme si sa conscience avait préféré refouler les mots dits ce soir là. Tout ce dont elle se rappelle, c’était de s’être réfugiée dans la chambre de son frère, pour se coller à lui, dans l’attente que tout se calme. Malheureusement, tout ne se calma pas, et même si Laure, sa mère, avait fait comme si de rien n’était, la femme avec laquelle Eli avait surprit son père, ne fut pas la seule. Moins d’un an s’écoula avant que le couple ne finisse par se mettre d’accord sur le divorce. Trop d’erreurs avaient été commises, trop de changements, trop de disputes pour que tout revienne comme avant.
Elizabeth resta vivre avec sa mère et son frère, pour ne voir son père le temps d’un week end, de temps à autre. Ce départ concorda avec le lycée pour la demoiselle, son frère étant déjà en école supérieure. Elle se plongea alors totalement dans son travail scolaire, perturbée, plus qu’elle ne voulait l’admettre. Silencieuse sur ses questions personnelles, ses doutes et ses envies, elle restait ouverte aux autres sans contreparties. Accordant bien plus d’importance à l’amitié qu’à l’amour, elle réagit au quart de tour à chacune des attaques que peuvent subir les personnes auxquelles elle tient, s’attirant le respect de nombre d’élèves, et de professeurs.
La lycéenne achève bientôt son cycle scolaire, sachant enfin ce qu’elle souhaite devenir. Le professorat l’ayant toujours séduit, elle rejoindra une université pour devenir professeur d’Histoire. C’est lors de sa première année qu’elle rencontrera James, lui-même étudiant, dans une faculté se situant non loin de la sienne. D’abord amis, leur lien finit par se resserrer jusqu’à se changer en amour. James et Elizabeth, devenue Stevens, après le divorce de ses parents, emménagèrent ensemble aux dix neuf ans de la jeune femme.

Vie Actuelle : Réservé aux humains {10 lignes}

Le bonheur est au rendez vous pour les deux tourtereaux. James a beau être plutôt calme et avare de mots tendres, il l’aime sincèrement, elle le sait. Cela fait quatre ans à présent qu’ils se connaissent, et le temps est venu de passer à l’étape suivante. Les fiançailles enfin annoncées, Eli tombe enceinte. Le bébé est prévu pour août, et le mariage pour mai. Le couple enchaîne les bonnes nouvelles, sous le regard attendri du reste de la famille. Le travail de James l’occupe à temps plein, si bien qu’Eli s’occupe des préparatifs de leur union seule. Peu à peu, ses études qu’elle n’a pas abandonnées, les premières nausées et ces occupations lui pèsent plus qu’elle ne l’avoue. Les disputes entre les deux fiancés commencent, peu fréquentes au départ, la jeune femme gardant la plupart du temps ce qu’elle pense pour elle, puis finalement, un évènement va changer la donne.
Un matin, Eli reçoit un coup de téléphone de sa mère, lui annonçant que Nick s’est fait hospitalisé. Il ne lui fallut pas plus de quelques minutes pour rassembler des affaires et rejoindre sa voiture. Nick comptait énormément pour elle, et l’imaginer allongé dans un grand lit blanc, lui serrait le cœur. Son portable sonna à cet instant, la sortant de ses pensées, et elle vit s’afficher sur l’écran le nom de James. Elle attrapa le mobil du bout des doigts, afin d’expliquer la situation à son futur époux. Mais avant qu’elle ne puisse commencer quoi que ce soit, ce fut lui qui prit la parole. Elizabeth mit un certain temps à comprendre ce qu’il lui expliquait et lorsque la signification des paroles de son fiancé atteignit son cerveau, elle resta bloquée.
Peut-être était-ce sa déconcentration alors, ou peut-être bien que le chauffeur qui venait en face ne regardait pas la route, mais ce qui devait arriver, arriva. La jeune femme donna un coup sec dans le volant au dernier moment, et n’eut le temps que de voir arriver le fossé, avant de sombrer dans le noir.
C’est le lendemain qu’elle reprit conscience, sa mère à son chevet, les yeux remplis d’inquiétude et d’une lueur qu’elle ne su interpréter.

- Maman ?
- Oh Elizabeth ! Gémit sa mère en lui prenant l’une de ses mains.
- Chut… tout va bien…

Eli esquissa un sourire qui se voulait rassurant, mais devant les larmes de sa mère, elle su que quelque clochait. La panique la saisit, et elle du prendre sur elle pour poser la question qui l’angoissait déjà.

- Le bébé ?

Les pleurs de Laure Stevens redoublèrent et sa fille su qu’elle avait raison.

Les jours s’écoulèrent, se transformant ensuite en semaines. Elizabeth n’avait pas retrouvé son entrain habituel, ce qui était plus que compréhensible lorsqu’elle apprit pour quelle raison son frère avait été admit à l’hôpital. Atteint d’une leucémie, sa vie était comptée. James n’était plus à ses cotés, l’ayant prévenu juste avant son accident qu’il avait trouvé quelqu’un d’autre. Comme son père l’avait fait avant lui. Le mariage avait été annulé et si sa mère n’était pas restée à ses cotés, il était à peu près sur qu’elle aurait sombré. Il lui fallut encore quelques semaines et une menace de son université pour que la jeune femme de vingt deux ans reprenne sa vie en main. Elle avait vite comprit que sa mère avait beaucoup trop à supporter en la maladie de son frère et sa propre inactivité. Eli reprit ses cours avec entrain, et s’occupa à son tour de sa famille, déménageant de l’appartement qu’elle avait prit avec James. L’année s’écoula tranquillement montrant enfin les accalmies tant attendues. Son frère poursuivait son traitement, se remettant doucement, sa mère retrouvait sa bonne humeur tout comme elle, surtout depuis qu’elle était titulaire de son diplôme de professeur d’Histoire.
Le futur professeur ressentait de plus en plus le besoin de s’éloigner un peu de l’Angleterre. Et lorsque la situation le permit, elle prit ses affaires et les encouragements de son frère et de sa mère en poche, elle s’envola pour les Etats-Unis, Forks plus précisément.

(Donc, si vous le permettez, j’aimerai qu’Elizabeth soit professeur au lycée de Forks.)

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Bienvenue Ici Elizabeth! ^^

Que dire? C'est une très bonne présentation ça va de sois! Et donc je ne peux que dire une seule chose!

BIENVENUUUE!!!

J'espère que tu te plaira sur le forum!

Je te Valide et vais temettre dans le groupe Humains.

Bon jeux!