Mcvoy Deely
« La beauté est une source inépuisable de joie pour celui qui sait la découvrir. » Nom : Mcvoy
Prénom : Deely Maria Hann
Surnom ou diminutif : Dee'
Lieu de naissance : Amérique ; Arizona, dans la petite ville de Cherry
Date de naissance : 3 juin 1897
Âge : 112 ans ; En apparence, 17 ans.Caractère :
‘‘Avons-nous deux côtés ? Un bon et un mauvais ? Moi,
je sais que j’en ai un sombre… Sanguinaire, barbare, brute… Mes meilleures qualités. Je me nourris de la souffrance, de la douleur. Le mal est l’une de mes armes favorites. Semer cadavres et morts sur mon chemin ne me gêne aucunement, au contraire, je m’en réjouis. J’aime faire affront à la bonté. Je suis – et je l’assume – le mal incarné. L’une des enfants du Diable. Je suis l’horrible douleur. Je suis un monstre.
Avoir un orgueil surdimensionné ne me honte absolument pas. J’assume et suis fière de ma beauté fracassante. J’aime savoir que les autres me regardent, que les autres m’envient, que les autres me jalousent. Je provoque la jalousie.
Certains humains prennent peur devant moi. Leur peur et leurs craintes sont justifiées. Derrière un visage d’ange d’une jeune femme de dix-sept ans, se cache un monstre parfait, calculateur, narquois, qui aime prendre de haut. Je ne m’abaisse jamais aux excuses auprès des êtres inférieurs. Je suis et je reste la meilleure – du moins, pour moi. La différence les répugnent, les gênent, les effraient.
Mon comportement se veut différent lorsque je suis auprès de ma famille, seule source de repos et de paix. Je me montre affectueuse, aimante, sincère sans trop l’être. Sans trop m’enticher à des personnes qui ne pourront sans doute, jamais comprendre ce que j’ai vécu. Malgré une face sanglante, malsaine et méchante, je reste au fond une femme compréhensive. Je peux, et veux comprendre mes semblables. Savoir ce qui s’est passé dans leur vie. Savoir compatir quand la tristesse afflux parmi les membres de mon clan.
Manies : S'écarter du groupe ; Rester en retrait mais participer à la vie de famille ; Se terrer dans le silence
Phobies : De perdre ma fratrie.
Amour : A quoi bon s'amouracher? L'amour est pour les faibles.
Nature : Vampire
traqueurDon (Facultatif) :On ne peut pas vraiment qualifier cette chose de don, mais lorsque je bois le sang de mes victimes, tout leur passé, leur vie, leurs liens avec d'autres, leurs souvenirs, tout, j'arrive à tout percevoir. Comme des flashs. Pas très utile, je ne le commande pas. Mais j'arrive à percevoir leur histoire, et j'en écris la fin, cela me donne une grande satisfaction.
Liens :
Famille Mcvoy: Ma fratrie. Mon clan. Les membres qui le compose sont à mes yeux, les êtres les plus chers à mon coeur. Malgré mon silence persistant, nous arrivons à nous comprendre. A échanger. Nous sommes presque humain quand on y repense...
Apparence Physique :
‘‘Miroir, mon beau
Miroir, dis-moi qui est la plus belle…
J’ai été gâtée par la nature, Dieu m’a offert la beauté et la perfection. Ma transformation n’avait rien changée à mes traits angéliques, mis à part la couleur et la matière de ma peau. La couleur de mes yeux d’un marron chocolat était devenue un rouge sanglant et bordeau, arme de frayeur de mes très chères et aimées victimes. De fins sourcils noirs les encadrant, de longs cils leurs donnant du volume, des cernes violines naturelles et des paupières mauves viennent les embellir. Un nez irréprochable et aquilin, une bouche fine et pulpeuse à la fois, une peau satinée, douce et sans imperfections. Mes longs cheveux noirs et bouclés viennent encadrer ma figure.
Je suis l’ange incarné. Le tableau de la perfection, le fruit de la création de Dieu.
At First :Cherry. Arizona. Aujourd’hui, ville fantôme hantée par les spectres des habitants morts dans des circonstances inhabituelles. Tous, ont été vidés de leur sang durant leur sommeil. Tous. Sans exception. Horrible fait d’un psychopathe, ou fatalité de notre bon Dieu ? Moi, je dirais les deux…
Père et moi vivions dans la chapelle de la ville. Depuis mon plus tendre enfance, il essayait de m’inculquer les bonnes choses de la vie, ce qu’était le bien et le mal, Dieu et Satan. Après la mort de ma mère, que je n’ai jamais connu puisqu’elle s’est éteinte durant son accouchement, Père avait été détruit. Sa croyance en Dieu, compromise. Ses convictions oubliées. Puis, c’est en m’éduquant qu’il avait trouvé la force de vivre. La force de combattre…
Pitoyable !Seul, il m’avait appris à lire et à écrire. A prier. A cuisiner. A faire la lessive et le ménage. Seul et pourtant, convaincu qu’il y arrivera. Mais bon, à quoi bon, je ne suis pas aussi bonne que nous l’avions cru…
Lui, enfant du bien, moi, fille du mal. Fascinée par les légendes, histoires effrayantes, faits divers et actes de violence et de meurtres, je ne me lassais pas de découvrir la face malsaine du monde. J’aimais regarder des photographies d’enfants malades, des personnes assassinées, massacrées, des photos de guerre, de sang… Au grand désespoir de père, qui tentait de me faire oublier tout ce mal. Mais à quoi bon ? J’aimais et me réjouissais du mal, de la souffrance et de la douleur. Et je grandis ainsi, dans une vie monotone et bien triste…
Transformation - Mutation : Les cris. Les larmes. Les hurlements. Les supplications. Les prières. Les demandes. Les adieux. Les baisers. Les derniers échanges, paroles. Les derniers espoirs. Les dernières secondes à voir le jour. Tout cela, était à la fois horrible et jouissant. Dix-sept ans à peine, et témoin d’une chose extraordinaire, surnaturelle, incroyable… Les envoyés du Diable étaient là. Ils étaient quatre, cinq, six ? Plus ? Ils étaient tous présent dans notre petite ville, présents pour se nourrir. Pour s’abreuver. Pour ôter la vie. Du haut de la petite chapelle, j’observai les monstres. Les fils de Satan. Les vrais.
Tout cela ne devait être qu’une légende, et pourtant, ils existent. Tous. Alors, Satan existe lui aussi. Lui et les enfers ? Les anges et Dieu ? J’avais été jugée de déséquilibrée mais non. Je ne suis pas folle. Je ne les invente pas. Vous voyez. J’’aurais bien voulu leur cracher ma haine à la figure mais, pour le moment, ils sont en train de se faire massacrer. Dommage…
Soudain, une main vint se plaquer contre mes lèvres. Je sentis une lourde pression sur mon visage et un bras entouré ma taille. Alors, j’allais finir comme les autres ? Je levai le regard vers le sang-froid et cherchait son visage. Beau, doux, séduisant et incroyablement sauvage. Je lui souris narquoisement. Si c’est ça la mort, alors, tuer-moi ! Lui, dévoila ses dents luisantes et parfaites et caressa doucement la peau de ma nuque avec le bout de ses crocs. Puis, plus rien…Juste, une brûlure intense.
J’ouvris subitement les yeux. Les lignes du plafond étaient tellement précises que je pouvais voir le plus petit défaut. Ces temps avaient été les plus longs de toute mon existence. Le seul souvenir précis, était cette morsure agréable et brûlante à la fois. Puis l’horrible souffrance et les mille et un martyr qui mon fait regretter d’être venu au monde…
Tout s’est passé dans d’atroces souffrance. Tout. Étais-je devenue...
To Finish : « -
Mets-la en veilleuse, Dorian, veux-tu ? Aboyai-je en le repoussant au bord de mon lit.
-
Allez. Une petite chasse. Avec moi. Rien que nous deux, en tête à tête, rien qu’avec ton gentil frère adoré. Allez, ma beauté. Précisa-t-il en baladant sur mon bras.
-
Tu n’as pas de rencard avec l’une de ces nanas en chaleur ? Laisse-moi, je t’ai dis ! Rétorquai-je en retournant à mon bouquin. »
Puis, après avoir émit un soupir long et bruyant qui voulait tout dire, il se leva et disposa de ma chambre. Il s’en remettra, comme d’habitude. Je déteste chasser en groupe. Je préfère me délecter de la souffrance de mes victimes seule. Comme d’habitude, je reste solitaire. Aujourd’hui ne déroge pas à la règle, allongée sur mon lit – qui ne me servira qu’à cela – et la tête plongée dans un livre, le silence qui règne dans la pièce est roi. De loin, j’entends les autres membres de ma famille.
Melisse et Lucian, des « parents adoptifs » hors paires m’avaient accueillis dans leur famille pas comme les autres. Chaque membre, appréciait le sang humain et aimait voir souffrir leurs proies. J’avais trouvé de bons compagnons. Nous nous entendons particulièrement bien. J’aime leur compagnie même si je reste assez souvent à l’écart. Ce que eux, ne comprennent pas.
Je vis à présent avec eux. Je ne peux m’en séparer. Je les suis partout où ils vont.
Personnalité sur votre avatar : Megane Fox
Âge : 17 ans
Girl or Boy : G
Double compte {à édité si oui plus tard} : Non
Comment avez-vous connu le forum ? : Je connais le forum depuis longtemps, je l'avais mis dans mes favoris mais, où est-ce que je l'ai trouvé... J'm'en rapelle plus. xD