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 Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.

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MessageSujet: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedMar 28 Oct - 15:05

La pluie, tout ce qu'il y a de plus banal pour une ville qu'est Forks. Des nuages gris, un ciel blanc, des grosses bouttes tombant à flots. Quelques voitures dehors, se baladant, des personnes avec leurs parapluies discutant entre elles. Les bancs mouillés. Une personne. Seule, assise sur un banc, même s'il a des risques d'être mouillé. Un pull possédant une capuche, de couleur orange, et un pantalon bleu, des yeux bridés, des cheveux noirs. Baskets blanches. Rien de plus banal, mis à part le fait qu'il soit asiatique. Pourquoi restait-il là sous la pluie, à sourire ? Lui même l'ignorait. Regardant la pluie tomber. Lui qui n'avait pas totalement l'habitude de ce temps, vu qu'il vivait dans une ville ou quelques fois il faisait beau, mais maintenant qu'il avait déménagé pour aller au lycée de Forks. Bien sûr, une réunion familiale avait suivit après avoir annonçé son projet à ses parents, mais il avait réussi rapidement à les persuader, et puis, ceux ci avaient confiance en leur fils. Ainsi Nathanaël Chi Joo c'était trouvé un appartement, et avait commencé à vivre à Forks. Sa faisait à peine deux semaines qu'il était arrivé, mais il aimait bien cette ville, et son ambiance, parce qu'il était particulièrement imaginatif.

Cela faisait à peine cinq minutes qu'il était assis sur ce banc, qu'il se leva d'un coup, et commença à marcher. Il ne pouvait pas tenir en place très longtemps, c'était l'un de ses défauts. Il s'arrêta devant un écorcia. Nathanaël trouvait cet arbre magnifique, et tellement différents. Alors que les arbres avaient à la base des feuilles vertes, cette arbre lui, contrairement au autres, en avait des rouges. Et en automne leurs couleurs changeaient, alors que les autres arbres devenaient marrons, jaunes, oranges, rouges, l'écorcia, lui, devenait un peu vert. Nathanaël comprenait un peu l'écorcia. Quand il était petit, on se moquait souvent de lui à cause de son origine asiatique. Ainsi, il se mit même à parler à l'arbre, ce qui n'était pas du tout banal.


- Tu doit vraiment t'ennuyer, à rester planté là, sans bouger.

Il l'avait dit en français, parce que c'était la langue qu'il connaissait le mieux parmis toutes celles qu'il avait apprise... Comme pour lui répondre, le vent souffla sur l'arbre, qui perdit quelques feuilles, et le jeune garçon ne put s'empêcher de sourire. Il savait déjà qu'il irait très souvent au parc municipal. Et même s'il pleuvait, et qu'il était complètement trempé, il resta là, devant l'écorcia, sans bouger, à l'admirer. Quelques minutes après, il bougea, et regarda le ciel, en évitant de se prendre des gouttes d'eau dans la figure. Il se promenait, longeait le parc, visitait, souriait, était heureux. Nathanaël n'avait aucune raison d'être heureux, il voulait juste l'être.

Ainsi, il imaginait diverses choses, croisant des gens, et les saluant. Il ne connaissait absolument personne à Forks, ou tout du moins n'avait toujours pas tenté de faire connaissance avec des gens, il connaissait juste quelques noms et quelques visages, voilà tout. Bien sûr, il avait entendu parler de la famille Cullen, mais sa curiosité lui avait dit de ne pas s'en mêler pour l'instant et puis il savait juste qu'ils étaient tous un peu pâles, et bizarres, c'est tout. Rien de très intéressant pour Nathanaël.

Tout en réfléchissant à cela, il regardait droit devant lui et sans se préocupper d'autre chose. Mais, comme il pensait donc totalement à autre chose, ses pensées divaguant dans le lointain, et dans l'imaginaire, son cerveau n'eut pas le temps de lui dire de s'arrêter ou de tourner, devant la personne en face de lui, et il la percuta un peu. C'est là qu'il repris conscience, et un peu gêné, bougea de partout, se frottant ses cheveux par derrière.


- Excusez moi, je pensais à autre chose, et je n'ai pas eu le temps d'éviter.

Il était franc, ainsi que poli,et c'était une très bonne qualité chez Nathanaël. Son accent anglais n'était pas très bon, mais il n'y pouvait rien... Ainsi, il regarda la personne en face de lui, tout en continuant de se frotter les cheveux et de sourire, un peu gêné...
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedMer 29 Oct - 2:26

La jeune femme ne pouvait s'empêcher d'esquisser un sourire a son tour lorsqu'elle vit l'embarras dans le visage de son interlocuteur. A ce temps, elle pouvait bien lui pardonner, la pluie ne cessait pas de tomber et les cœurs vaillants ce promenait sous cette pluie froide. La lumière des lampadaires était tamisé par la pluie et les phares des automobilistes formaient un halos lumineux distinct dans la nuit. Elle recouvra son visage de son capuchon jusqu'au niveau des yeux et réarrangea son coton water sur ses épaules, fit signe de main au jeune homme pour l'assurer qu'il n'y avait eu aucun mal. Elle avait pu apercevoir le visage de ce jeune homme, mais ne l'avait jamais vu auparavant, ou peut-être une fois lors de l'une de ses promenades nocturnes.Elle ne savait trop, ses idées étaient quelque peu dispersées par-delà la pluie.

Elle lui trouva un charme que certains humains perdaient avec le temps, cette petite étincelle dans ses yeux bridées. Une âme emplis de vie malgré la noirceur de la nuit et le temps gris. Il souriait, le temps était d'un gris terne, la pluie froide fourmillait la peau, il ventait un peu,mais il souriait tout de même. Elle recula de deux pas tremblant et incertain.

- J'avoue être dans le même état ..

Fit-elle finalement. Un coup de tonnerre résonna soudain au dessus de leurs tête, suivis d'un coup de klaxon a son égard,elle qui c'était trop reculée dans la rue, son anxiété soudaine la fit sursauter et elle resserra l'emprise qu'elle avait sur son capuchon afin de bien se cacher, tandis qu'elle courait sous un abri bus et s'assied sur le banc. La faible lumière que dégageait les néons laissait voir la peau de ses mains pales et tremblante, ses lèvres bleus qui recouvrait c'est petit crocs imperceptible.

Décidément, elle n'allait pas très bien. Tout son métabolisme était au ralentis et pour quelqu'un de son espèce, ce na signifiait rien de bon. Elle n'avait fait que se nourrir d'animaux et ça n'avait pas changer depuis quelques décennies. Pouvais-ce être le manque de sang humains qui creusait ainsi sa faim? Certes non, elle avait dépasser ce stade. mais son corps devenait de plus en plus froid et lourd a porter sur ses jambes. Physiquement elle était stoïque, psychologiquement son mental s'attaquait. Elle espérait tant que le jeune homme ne soit pas curieux, son visage se tordait d'une douleur imperceptible par l'ombre que créait son
capuchon. Elle se leva subitement et alla s'assoir dans le coin de l'abri bus, recroquevillée sur elle-même

- Bon Dieu, que devins-je ..

Sa voix tremblait. Elle ne leva pas la tête par simple peur d'y voir les gens se retourner. Son état devenait un semblant paranoïa, elle entendait la voix dans sa tête l'appeler et la marteler de question. Mais qui pouvait l'aider a présent? Elle sombrait petit a petit, mais se calmait malgré tout. Quelques gens passait, mais hésitait a venir vers elle pour lui demander son état. Il ne la connaissait pas, ne la craignait pas, mais pensait bien qu'elle avait un certain rapport avec les Cullens. Elle ramena ses jambes contre elle, y croisa les bras, s'y accota la tête et respira un bon coup ..
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedMer 29 Oct - 23:45

Nathanaël ne compris pas tout à fait la jeune femme. Bien qu'il la trouva très gentil, vu qu'elle souriait, et tout ce qui souriait pour le jeune garçon, était gentil. La jeune femme était un peu invoyable, et il ne put pas voir grand chose, mis à part ses yeux, topazes. Ces yeux et sa peau était certes bizarre, mais sa ne le dérangea pas. Sa curiosité ne prenait pas en compte le physique, sauf dans de rares cas. Pourquoi ? Parce qu'il était lui même différent des gens physiquement, et qu'il n'aimait pas découvrir des choses par rapport à l'apparence de quelqu'un. Pour lui, c'était normal, complètement normal même, d'être différent au niveau de l'apparence. Alors, même s'il aurait rencontré un homme de deux mètres de haut, ayant des yeux vairons rouges et or, et des cheveux blancs, il n'aurait même pas été étonné. Lorsque la jeune femme lui dit qu'elle était dans le même état que lui, il se dit qu'elle était aussi tête en l'air que lui, et que cela faisait du bien de rencontrer parfois des gens comme sa. Pour Nathanaël, tout le monde était gentil, tout le monde était beau, enfin, les rares cas qui ne faisait pas partie de cette doctrine, étaient rares, mais existait. Mais cette femme en face de lui, lui inspirait confiance, ainsi, il ne se méfiait pas trop, même s'il savait que c'éait mal de parler aux étrangers, et qu'il ne allait pas faire confiance aux apparences.

Lorsque le coup de tonnerre retentit, le jeune garçon ne put s'empêcher de sursauter d'un seul coup, tant étonné par ce coup dont il ne s'attendait pas. Et même le klaxon lui fit battre encore un peu plus son coeur allant déjà rapidement. Heureusement que le jeune garçon n'était pas cardiaque, parce que sinon il serait déjà mort à l'heure qu'il est. Il regarda la jeune femme courir sous l'abri du bus, et se demanda un peu pourquoi elle avait fait sa. Alors qu'elle était protegée de la pluie par un capuchon. Nathanaël se mit donc debout, tout près de la femme, sans être sous l'abri, parce qu'il aimait la pluie, et que peu importait le fait qu'il sois mouillé, même s'il pleuvait carrément sur son nez, et que son cou et le reste de ses habits étaient trempés. Il ne s'approchait pas plus, parce que quelque chose en lui, lui interdisait, comme s'il fallait laisser cette femme seule, pour l'instant, sans rien dire.

Ainsi le jeune garçon eut le temps de l'observer. Lorsqu'elle alla s'asseoir vraiment dans le coin de l'abri du bus, et se recroqueviller tel quelqu'un qui est triste et qui pleure, il se demanda vraiment si cette femme ne ressentait pas une immense tristesse. Il entendit les mots de la jeune femme, mais eut du mal à les déchiffrer. Nathanaël s'avança de deux pas. A présent il était presque sous l'abri du bus, à quelques mètres de la femme, et il souriait un peu moins. La seule chose qu'il sut faire c'était parler....


- Les abris du bus ne sont pas les meilleurs endroits pour réfléchir sur soi-même...


Il y avait de meilleurs endroits, il ne savait pas lesquels, mais lui s'imaginait sous la pluie à regarder l'écorcia, comme précédemment. Nathanaël aperçut d'ailleurs un autre arbre du même type non loin, et alla prendre une feuille en s'excusant près du végétal de lui voler une partie de lui même, et revint à sa place. Il souria un bon coup et continua à parler.

- Et puis, à rester sous la pluie ou plutôt, le vent, enfin dehors quoi, vous allez attrapez froid.

Il ne la connaissait pas, ne connaissant même pas son nom, ou son prénom. Il venait juste de la rencontrer, mais il voulait l'aider, sans l'aider. Sans parler de son problème, sans lui demander ce qui n'allait pas. Sa curiosité qui pourtant était très forte, s'était comme éteint. Nathanaël était juste gentil, et il voulait juste.... Aider. Comme je l'ai dit, sans l'aider explicitement. Et c'est pour ça qu'il continua à parler.


- Vous savez, moi quand je vais mal, je parle aux arbres, surtout aux écorcias. Et je trouve la réponse à mes questions.

Peut-être que cette femme allait le prendre pour un fou, peut-être allait elle lui rire au nez, ou alors même, peut-être que cette femme ne l'écoutait tout simplement pas, mais Nathanaël s'en moquait, il souriait toujours, faisant toujours tourné la feuille rouge entre ses doigts. Si cette femme ne répondai pas, ou si elle répondait, peu lui importait, tant qu'elle trouvait la réponse à sa question. La pluie tombait toujours sur le jeune garçon non abrité sous l'abri, toujours debout, à quelques mètres de cette inconnue.... Il écoutait... Ce qui allait peut-être venir...
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedJeu 30 Oct - 2:25

Son cœur se débattait tellement que son souffle coupait, elle sentait une pression inexistante lui peser sur la tête. La voix de ce jeune homme, sans savoir pourquoi, vint lui fendre le cœur. Autant de gentillesse, une certaine petite naiveter, une énergie comme il y en n'avait d'autre. Était-il vraiment humain? Oui, mais quelque chose le rendait special a son cœur.Elle se leva maladroitement, toujours accotée contre l'un des murs de l'abri-bus. Elle lâcha doucement son capuchon et décrispa ses mains,elle leva la tête, ce qui fit glisser la capuche en question et laissa voir son visage. Ses yeux bleus fixèrent la lumière des néons encore trop fort pour elle, les shurikens qui lui servait de pupilles rétrécirent et devenèrent inexistante. Elle ne savait pas ce qu'il lui avait pris, mais elle avait montrée une partie d'elle sous son véritable jour et sans crainte. Et puis, son regard se posa sur celui-ci, elle observa son comportement et le vis jouer avec la feuille d'écorcia et esquissa un petit sourire, en cachant sa petite canine pour ne pas l'effrayer davantage. La pluie ne cessait de tomber, son corp etait toujours aussi innabituellment sensible, mais ses esprits était revenue en grande partie. Un grand frisson lui traversa l'echine et la raidie.

-Hun ..je ne crois pas trouver la réponse dans les arbres. Ni dans quoi d'autre que se sois mis a part mon esprit.

Elle regarda a travers les vitre de l'abri-bus et y posa une main,faisant avec son souffle, dégageant peu de chaleur, un cercle de bué et s'y accota finalement la tête. Avec le temps qu'elle avait passée en solitaire, la seule chose en quoi elle n'avait jamais eu la peine de pensée, c'etais les mal que son cœur pouvait éprouvé. Elle regarda a travers la vite et trouvait ses agissements totalement contraire a ses habitudes. Elle vit encore quelque halos de lumières arriver dans la nuit et la pluie.

-J'ai déjà trop froid ..Alors la pluie ou le vent,peux m'importe.

Elle souris a voir la moitier de son reflet dans la vitre. Elle se tourna et approcha a quelque pas du jeune homme et l'observa de ses yeux, puis passa a coter de celui-ci pour se retrouver sous la pluie. Elle arrangea les cheveux qui se trouvaient devant ses yeux et les reporta en arrière, offrant son visage a la pluie pour s'éveiller davantage. Se retournant vers l'inconnue.

-Pourrais-je savoir votre nom?

Dit-elle doucement. Elle n'attendait pas de réponse et ne savait même pas si il y aurait un lendemain. Son état était critique d'après elle et si elle se réveillait demain, ce serait une chance. Le soir même de cette soirée, elle s'était retrouvée dans la foret, paralyser par le froid mordant de son corp. Son cœur s'était retrouver a ne quasiment plus battre et ses muscles étaient endolorie. Sous sa peau pale, pulsait l'envie de vivre et de découvrirai son "créateur". Se trouvait-il seulement a Forks? Elle ne pouvait pas mourir maintenant et se battrait si il le fallait. Elle ne pouvait abandonnée maintenant. Elle se retourna et regarda le jeune homme ..




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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedJeu 30 Oct - 22:44

Nathanaël regarda les mouvements de la jeune femme, à ce qu'il pouvait voir, elle avait l'air assez fatiguée, sinon elle n'aurait pas mit autant de duretée à se lever. Il vut que ses yeux devinrent presque comme ceux des chats, et trouva cela assez joli. Et même, il devait le dire, la jeune inconnue en face de lui était très belle. Maintenant qu'il pouvait la voir en tout cas. Lorsqu'elle le fixa, il baissa tout de même soudainement les yeux, tout en jouan encore avec la feuille, qu'est ce qu'il l'aimait sa petite feuille, même s'il avait osé la volée à un écorcia, et que sa ne lui avait pas du tout fait plaisir, ce qui pourtant est particulièrement étrange, vu que l'arbre ne lui avait pas répondu qu'il avait mal. Mais les végétaux ne sont-ils pas vivant ? Et c'est sur ce principe là que tout reposait dans la tête du jeune garçon. Si les végétaux sont vivants, que les arbres sont des végétaux, et que l'écorcia est un arbre, alors cet arbre aux feuilles si rouges, comme celle du sang, était vivant. Et il y a une citation qui dit, ne fait pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te fasse. La logique de Nathanaël sortait complètement de l'ordinaire, et il le savait parfaitement, mais s'en moquait également. L'inconnue aux yeux bleus comme ceux des chats, lui répondit que contrairement au jeune garçon, elle ne croyait pas trouver la réponse dans les arbres, ni dans autre chose, mis à part dans son propre esprit. Le jeune lycéen continuait de sourire.

Il entendit aussi la réponse à sa deuxième phrase, la jeune femme avait apparemment déjà trop froid, lui aussi, malgré son pull. Mais il aimait la pluie, il aimait le vent, il aimait les écorcias, en bref, il aimait la nature tout simplement, alors peut lui importait, comme la jeune femme... Lorsque celle ci s'approcha de lui, pour l'observer avec ces yeux de chats, que Nathanaël trouvait toujours aussi beau, elle lui demanda son nom. Il souriait toujours, comme d'habitude, un petit sourire allant si bien avec ses yeux pétillants de joie, malgré leurs couleurs noirs charbon, tout comme ces cheveux..... Il s'arrêta de faire tourner la feuille entre ses doigts, et répondit poliment, avec un ton joyeux.


- Je me nomme Nathanaël Chi Joo. Et vous ?

Quelqu'un de vraiment très poli, aurait rajouté « madame » ou « mademoiselle » mais comme le jeune garçon hésitait entre les deux, il n'osait pas utiliser l'un des deux. Le plus étonnant, était qu'il avait sans s'en rendre compte, dit la première partie sa phrase en français, une sale habitude qu'il avait déjà en Italie... Décidemment, il fallait vraiment qu'il mélange toujours les quatres langues qu'il avait apprit durant ces nombreux déménagements. Et même sa question avait été prononçé un peu bizarrement, et c'était facile d'aperçevoir qu'il n'était pas anglais, vu comment Nathanaël avait prononçé ces mots. Ainsi, il se rattrapa bien vite et dit.


- Excusez moi, pour le français au début de ma phrase....

Fallait-il lui expliquer la raison du pourquoi il parlait cette langue ? Ce serait trop long, il fallait donc juste abréger, et c'est ce qu'il se contenta de faire, toujours sous la pluie, près de l'abri du bus, en face de l'inconnue.


- J'ai beaucoup déménagé, et je mélange beaucoup de langues...

Il eut un petit rire, il savait très bien qu'il n'y pouvait rien, vu qu'il oubliait toujours de tourner septs fois sa langue dans sa bouche. Nathanaël espérait aussi, que la jeune femme ait comprit la première partie de la phrase où il s'est présenté en français, sinon, il n'aurait qu'à la reprononçé en anglais, et sa ne le dérangerait pas plus que sa....
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedVen 31 Oct - 3:13

Elle hocha de la tête, souriante et bien contente d'avoir pu entendre de nouvelle fois sa voix et sa réponse. Elle posa ses yeux sur le ciel, ses pupilles se dilatèrent et redevinrent des "shuriken" qui prenaient le 3/4 de ses yeux bleus. D'un n'air félin, la jeune femme s'étira longuement et sentis ses vertèbres craquer et se sentis détendu. Étrangement, la jeune femme venait de se rendre compte qu'il n'avait qu'un sweat-shirt sur le dos et qu'il était aussi trempe qu'elle. Son sang se glaça sous sa peau, mais c'était bien normal, cela signifiait qu'elle reprenait justement de sa véritable normalité, celle qu'elle semblait avoir perdu depuis quelques jours, ou tout était devenue froid et sombre. La compagnie humaine l'aiderait-elle? Il était bien vrai qu'a Londres, il y avait déjà quelques jours de cela, elle s'était amourachée d'une jeune humaine, de laquelle elle fit l'un des siens et il est vrai que deux ou trois mois la bas, sans cette jeune fille a ses cotées aurait été mortel, mais de la a mourire de compagnie humaine ou non..

C'étais a y bien réfléchir. Elle ne pouvait se résoudre a "Tuée" en quelque sortes dans tout les coin qu'elle allait par seule prétexte que la solitude pouvait la tuée dans les jours qui viendraient, mais malgré tout la solution qui se présentait a elle était une alternative plutôt concevable. Sur un coup de tête, elle pris le jeune homme par la manche et l'entraîna avec elle.

-N'ayez crainte, je vous ai compris. Je comprends moi-même plus d'une centaine de langue de ce monde. Je vois aussi que vous aimez la pluie autant que moi, mais il ne faudrait pas que vous attrapiez quoi que ce sois.


Elle les entraînèrent dans le parc et ralentie la cadence de sa marche. Serpentait a travers les chemins boueux, zigzaguait entre les arbres jusqu'à une sorte d'abri. La journée, cette abri servait de point de rencontre pour les musiciens, désireux se faire entendre et connaître, parfois c'était pour quelques mères avec leurs enfants ou des amoureux, autant le jour que la nuit. De faible lumières éclairaient la place. Rendu au dessous de l'abri, la jeune femme lâcha la manche, se rendant compte de son geste plutôt impulsif. Elle avait perdu l'habitude de réfléchir de ce qu'elle fesait et ce même si cela ne comptait que pour des "pinuts".

- Je m'appelle Lyvianne Descomptez,Hun ..

La jeune femme lui tournait dos.

-Désoler de ce mouvement plutôt brusque de ma part. Je n'ai pas voulu vous heurter et encore moins vous emportez avec moi.

Elle se sentie stupide. Non, ce n'étais pas la première fois, mais c'est tel qu'elle avait appris a vivre avec sa petite protéger de Londres qui lui donna du fil a retordre. Elle se sentis stupide, puis coupable, coupable de vouloir de la compagnie tel qu'elle était, coupable de peut-être en faire son "Buffet" personnelle si l'envie lui prendrait, coupable de s'en n'être déjà trop approcher et de l'avoir entraîner vers elle, comme on n'entraîne un Agneau vers un Loup. Le problème, c'était Elle le Loup dans toute cette histoire. Elle ne bougea pas plus ..
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedSam 1 Nov - 0:15

[Hj: J'peut t'avouer un truc ? J'adore jouer avec toi ^__^]

Nathanaël ne comprit pas tout de suite pourquoi la jeune femme le prit par la manche et l'emmena avec elle. Il fut étonné quand elle lui apprit qu'elle connaissait plus d'une centaines de langue du monde, et se demandait comment elle faisait pour réussir à retenir autant de langues. Il se demanda même comment cette inconnue avait fait pour toutes les apprendre.... Même lui qui avait déménagé tant de fois, ne connaissait que quatre langues, et encore... Ces yeux noirs regardaient donc bizarrement la jeune femme qui l'entrainait il ne savait où. Enfin, il devait bien se douter où elle allait l'entrainer parce qu'elle avait parler de maladie, et qu'il ne fallait pas que le jeune garçon tombe malade. Pourtant, autant que le jeune asiatique s'en souvienne, jamais il n'était tombé malade parce qu'il était resté sous la pluie. Sauf peut-être un jour, oui maintenant qu'il s'en souvenait... Mais c'était une trace du passé qu'il préférait oublier...

Ce jour là, le jeune garçon vivait encore en France, et que tout le monde se moquait de lui parce qu'il avait les yeux ridés, et donc qu'il était différents des autres. Un blond accompagné de son groupe, qui étaient en dernière année du collège, la troisième, d'après ce qu'il avait retenu du cursus scolaire du pays du pain et de la Tour Eiffel, l'avait prit à part, alors qu'il pleuvait et c'était moqué de lui. Finissant par le tabasser de tous les côtés, il se souvenait très bien de sa grande soeur qui était venu le chercher alors qu'il était couché par terre, la bouche en sang et un oeil au beurre noir, son ventre avait aussi subit diverses douleurs... Le lendemain il avait 40C° de fièvre, il s'en souvenait très bien.... Pendant une semaine il n'avait pas été en cours... Mais il effaca bien vite ce souvenir, quand la jeune femme se présenta comme étant Lyvianne Descomptez.... Etrange nom, mais tout aussi étrange que cette femme. Et c'est là qu'il remarque enfin qu'il est sous un abri. Il souriait toujours, comme à son habitude, et l'inconnue dont il connaissait maintenant l'identitée, continua de parler, enfin tout du moins, elle s'excusa de son semi-kidnapping, et croyait qu'elle avait heurter le jeune grçon, qui souriait toujours et encore sans s'arrêter, à croire qu'il ne savait vraiment faire que sa.

Il se mit même à rire, doucement, sans vouloir outrer Lyvianne, mais s'arrêta lentement, et finit par se remettre à sourire, et observa à nouveau la pluie, qui ne cessait de tomber. Au loin, il pouvait même aperçevoir des gens courir à la recherche d'un abri, et entendre les cris des personnes qui se pressaient... C'est là qu'il répondit, toujours sur un ton joyeux, avec son accent si différent... Mais qui le rendait si particulier, encore plus que ses origines orientales....

- Vous savez, sa ne m'a pas heurter. C'est étrange que quelqu'un s'inquiète pour moi, alors que vous ne connaissez que mon prénom et mon nom, et le fait que je mélanges des langues.

Il souriait toujours autant. Oui, jamais une inconnue ne s'était inquiété pour sa santé. Ou ne s'était pas moqué de lui, voire même, ne lui avait pas fait remarquer ses origines d'ailleurs... La plupart du temps, quand il rencontrait quelqu'un, et que celui ci lui parlait, il avait tendance à lui demander d'où il venait et lui faire des remarques, et si la personne en face de lui était gentil, elle lui demandait comment c'était la Corée etc... Mais sa l'avait toujours embêté, cet esprit de catégorisation. Même lui qui est pourtant si curieux, n'osera jamais faire de la catégorisation, ce qui fait de lui quelqu'un de particulièrement tolérant. Avant même que Lyvianne ne réponde quelque chose, Nathanaël continua à parler.

- A vrai dire, c'est la première fois que je rencontres quelqu'un qui ne me fait pas remarquer mon origine. Qui est pourtant très visible.

Il souria, un sourire sûrement plus innocent que les précédents, il était vraiment heureux, et se disait déjà que Forks serait totalement différent des autres villes où il avait été, même différent d'Avalon là où vivait sa famille actuelle. Et ne put s'empêcher de faire remarquer sa joie.

- Alors j'en suis très heureux.

Et le jeune lycéen aux origines mêlés, autrement appelé « métis », commençait vraiment à aimer la jeune femme en face de lui, même si celle ci au début réagissait bizarrement, sous l'abri du bus... Ne tournant plus la feuille d'écorcia qu'il avait perdu en cours de route et écouter la pluie chanter, il ne pensait même pas au fait qu'il avait été d'une franchise absolue, et il fallait avouer, ne s'en doutait même pas. Vraiment, pour Nathanaël, tout le monde il était beau, tout le monde il était gentil.... Enfin pas tout le monde, il s'en doutait, mais cette femme, Lyvianne Descomptez faisait partie des personnes qu'il trouvait gentil, et il n'y avait que sa qui comptait.
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedDim 2 Nov - 0:12

[Hj: Ho! Alors tu m'en vois ravie ^-^. Je te retourne le compliment <3.]

Elle resta immobile et l'écoutais parler, sans rien dire. Elle l'entendait parler, mais resta heurtée dans son silence de pierre, totalement déstabilisée par son précédant geste. Elle restait bien l'énergie qu'il dégageais et voyait sans regarder le sourire qu'il esquissais sans retenue. Il avait un grand cœur, de belle pensée, quelque chose de pur. Mais ce qu'elle craignait c'était elle. Étrangement, une toux rauque venu de ses poumons, sortie de sa gorge et l'irrita, elle mit le revers de sa main devant ses lèvres et quelque goûtes de sang en tombèrent. Elle s'accota sur le bord de l'un des garde-fou, lécha le sang et posa ses yeux au sol.

-Je n'ai jamais eu l'habitude de demander au gens d'où t'ils venaient ni d'où provenait le doux accent qu'il pouvait avoir dans leurs voix.J'ai aussi tellement connue de type de gens pendant c'est dernière année avec différent accent que jene m'en soucis plus et il m'arrive même, a force de parler avec certain d'eux, de commencer a avoir leurs accent sans que je ne m'en rende reelement compte.

La jeune femme se retourna et s'accota sur le garde-fou, regardait la pluie tomber au alentour et écoutais le bruit de celle-ci se fracasser contre la taule de métal en forme de toit qui les protégeaient. Le tonnerre fit encore rage, le vent ne soufflait presque plus et les nuages commençaient de peu a découvrir le ciel et laissaient voir une lune qui semblait pleine. Le cœur de la jeune femme battaient autant qu'un rythme de danse lascive. Elle poussa un long soupir et sourit en direction du jeune homme. Elle regardait les traits de son visage, sans prendre l'expression vexante qui pouvait venir avec. Elle l'aimait bien, mais la peur la dominait bien plus qu'autre chose, elle devrait s'en aller dans quelques heures, tout ou plus pour la chasse. Par malchance, dans son sourire elle y avait montrer l'un de ses crocs, qui était bien plus démesurée que la normal a cause du sang qu'elle avait lécher et vint de s'en rendre compte. Elle retrouva un air plutôt stoïque, mais pas froid, toujours avec un faible sourire a ses lèvres. Malheureusement, un filet de sang coulait de ce petit sourire, sans qu'elle ne s'en rende compte. Elle fixa le sol.

- Si je ne suis pas trop indiscrète, en ce qui vous concerne, que faisiez vous sous la pluie? Il est vrai que vous semblez l'aimer autant que moi .. Mais bref ..

Elle posa un regard a l'entour d'elle et observait les éléments, ressentait les changements et la froideur qui commençait a pesé sur les têtes, la pluie commençait a se faire forte et bien qu'elle ait mieux, le bref moment de faiblesse éprouvée ses dernier jours l'avait affaiblie beaucoup plus que pensée. Des frissons l'envahir une secondes fois.

-Excusez-moi ..je ne me sens pas très bien ..

Elle se courba en deux, une crampe la pris au ventre. Son attitude la trahissait, le manque de sang commençait a se faire sentir et de plus la lune se montrait. Ses os craquelait dans un bruit cinglant, sa respiration s'accentuait et sa toux rauque continuait, ainsi que le sang qui y coulait au sol en gouttelette. Une voix se fit entendre, différente de celle de la jeune femme, mais qui provenait d'elle, une vois qui prononçait des mots en Latins. La jeune femme eu quelques convulsions ..

- Éloignez-vous ..

Dit-elle d'un voix étouffée par le sang ..
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedDim 2 Nov - 1:44

Nathanaël écouta la jeune femme. Décidemment il l'aimait beaucoup, elle était tellement différente, tellement mystérieuse, elle changeait des autres. Et c'est ça qui lui plaisait. Apparemment, elle devait connaître énormément de gens, pour connaître beaucoup d'accents. Mais logiquement si Lyvianne savait parler plus d'une centaines de langues, il est normal qu'elle est déjà rencontrer énormément de personnes étrangères. Mais quelque chose dans sa voix changeait, surtout qu'il l'avait entendu tousser, mais que par la pluie il ne voyait rien, le jeune garçon s'inquiétait. C'était une habitude chez lui. S'inquiéter de tout le monde, pour rien. Quelqu'un d'autre l'aurait sûrement trouvé idiot, stupide, de raconter sa vie, de jouer avec une feuille d'écorcia, de raconter n'importe quoi, de parler à un arbre. Mais pas cette femme, et c'est ça qu'il appréciait énormément chez elle.

Alors qu'il la regardait toujours en souriant, il remarqua vraiment qu'elle était étrange, certes Lyvianne était différente par son caractère, mais il n'y avait pas que ça. Il croyait avoir halluciné en voyant une canine énormément large, lui rappelant des mythes qu'il connaissait et que sa petite soeur adorait, et n'arrêtait pas de lui dire qu'elle aimait sa, et qu'elle aimerait tant que sa existe, mais qu'elle n'aimerait pas se faire avoir par l'un d'eux.... Un vampire. Mais c'était sûrement pas ça, les vampires n'existait pas, et n'existeront jamais, se serait trop illogique. Nathanaël souriait moins, mais souriait toujours. Sauf quand un liquide rouge sortit de la bouche de la jeune femme. Là, il eut rapidement la nausée. L'une de ses plus grandes phobies, qui lui avait toujours apporté des problèmes... La phobie du sang, des blessures. Sa l'avait toujours dégouté, répugné. Et il ne se souvenait plus le nombres de fois ou sa soeur avait dut le rassurer doucement alors qu'il pleurait dans ses bras. Parce que quand il était petit, non seulement les gens l'embêtaient, mais en plus il était assez maladroit, et avait souvent tendance à tomber facilement. Ce qui faisait que son genou saignait souvent, ou bien son coude ou sa main. Heureusement que sa soeur était toujours là pour lui, il ne s'en serait jamais sortit sinon. Mais là, en face du jeune asiatique, qui n'avait même pas écouté ce qu'elle lui avait demandé à propos de la pluie, il restait figé, les yeux un peu terrifié, il regarda ailleurs, mais la vue du sang lui revenait toujours en mémoire. Restant ancré à ces yeux, comme lorsqu'on regarde une lumière trop brusquement, il voyait des tâches rouges partout.

Nathanaël entendit Lyvianne annonçée qu'elle n'allait pas bien, et s'excuser. Mais qu'est ce qu'elle avait ? Soudain il se souvint de son état sous l'abri du bus, et de sa réaction. Etait-elle malade ? Avait-elle des problèmes au coeur ? Même si le jeune garçon était toujours terrifié par ce liquide rouge qu'on appelle le sang, il ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter pour la jeune femme. Lorsque la jeune femme toussait encore, et qu'elle lui demanda de s'éloigner, il resta paralyser. La peur du sang l'envahissant trop vite. Trop bien. Trop fort. Son cerveau avait beau ordonner à son corps de bouger, de se reculer, ses réflexes corporels étaient éteint, comme recouvert d'une couche noire, sa propre sûreté elle-même n'arrivait pas à en placer un mot, tant la peur recouvrait l'esprit du jeune garçon. Mais il recula, doucement, certes, de trois pas, voire cinq, peut-être. Nathanaël ne bougeait plus, et tomba en arrière. Il n'avait pas peur de l'attitude de Lyvianne, ni de son action. Non pas du tout, il avait toujours et encore, peur du sang. Le jeune garçon n'aurait jamais pensé que sa peur aille aussi loin.... Il réussit à articuler quelques mots....

- Q....Que....Que vous arrive......t-il ?

Peut-être que la jeune femme allait croire qu'il avait peur d'elle, même si ce n'était pas vrai, et il espérait qe sa n'allait pas être le cas.... Fixant toujours la tâche de sang... Ce liquide rouge qui lui donnait envie de vomir, qui lui donnait toujours un certain effroi, qui réussissait à enlever tout son sourire. Même regarder ses veines de sa main lui faisait peur. Il n'avait jamais put regarder de films d'horreurs avec du sang, rien qu'à cause de sa, même si sa soeur le persuadait que c'était du faux, il en faisait quand même des cauchemars la nuit... Avalant lentement sa salive, il continua à parler, toujours avec ce ton horrifié, même si intérieurement son cerveau le suppliait de se calmer.

- Je.... J.....Je déteste.... Voir du sang....

Toujours autant éloigné cette femme, effrayé, inquiété, abasourdi, écoutant à moitié la pluie tombante... Nathanaël était assis par terre, à quelques mètres de Lyvianne, peut-être pas assez loin, peut-être trop loin, il n'en savait rien... Il réfléchissait à ce qu'il fallait faire, à comment dominer sa peur, et ferma les yeux. Tentant de ce calmer, d'oublier.... S'imaginant même qu'en rouvrant les yeux il n'y aurait absolument plus rien, même si au fond de lui, il savait très bien que si ces yeux noirs de charbon se rouvrait au bon endroit, il verrait toujours cette femme avec du sang par terre....

[Hj : Nath' et moi on a les mêmes peurs *0*]
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedDim 2 Nov - 2:50

La jeune femme entendit ces paroles "Je détestes voir du sang .." et pourtant, elle se mis a rire. Son cœur palpitait a cette odeur, la salive était mélangée au sang, et tombaient contre le sol, dans une marre homogène. Une douleur la pris au ventre, plus violemment qu'un coup de tonnerre qui fendit le ciel en cette nuit plutôt noir. Elle une une convulsion, ses ongles s'allongèrent et asseyaient de trouver un point d'encrage au sol, mais il n'en sortait qu'un bruit strident d'ongle sur un tableau noir.

- Ce n'est pas du sang, dont tu devrais avoir le plus peur ..

Sa voix brisait a certain moment allant de grave a aiguë. Elle leva la tête, son cou craqua, ses cheveux cachaient ses yeux, son sourire était fendu jusqu'au joue, dentée, les canines d'une grosseur et longueur démesurée. Elle ne pu s'empêcher de rire effroyablement. Elle se parlait a elle-même de deux voix différente et distincte:

- Et que comptes-tu faire pour m'en empêcher?

Dit l'une des deux voix, la plus grave.

- Rien car la lune est a son Zénith, mais ce n'est pas dans nos habitude d'agir ainsi!

Hurla l'autre, un peu plus aiguë.
Visiblement, elle était déchirée et se battait contre elle-même. La pluie n'en finissait plus de tomber, les vents soufflèrent de nouveau et sans retenue, dans la plus sombre des nuits, dormait une bête assoiffée.

- Il ne mérite en rien ce qui lui arrive ..

- Mais nous n'avons pas le choix! Tu vas crever!

- "TU" vas mourir si je ne fait rien. Moi je survivrai pendant un temps.

- Mais tu ne seras plus rien sans moi!

D'un seul coup, les yeux, de ce qui était maintenant, la bête, pétillaient a la vue du jeune homme, mais soudain, en le revoyant dans sa tête, l'image apeurée du jeune homme devant la simple vue sang, un air triste et accablée s'incrusta dans le visage de la bête.

- Nous ne sommes pas comme ça! Mais comment ai-je pu tomber aussi bas ..

- Ne t'en veux pas, ça passeras. Mais pour l'instant, il est trop tard ..

Son visage redevint normal a ce qu'il était avant, plus aucun crocs démesurée était visible, que c'est petite canine de Louve, imperceptible a l'homme et ses mains redevinrent normal. Elle ne trouvait pas ou aller pour se cacher et recommençait a tousser, toujours autant de sang se déversait de sa bouche mélangée a de l'écume. Sur un cou de tête, elle passa par-dessus le garde-fou et alla se cacher derrière un buisson, coucher en boule ..

[Hj: xD et Malheureusement pour toi, moi c'ey tout le contraire =X. Chui "Ghore" au bout.]
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedDim 2 Nov - 3:57

Nathanaël, pertubé, effrayé, entendit le rire de la jeune femme. Allait-elle mieux ? Si c'était le cas alors le jeune garçon était heureux. Soudain, un bruit strident sortit, en effet, cette femme avait des ongles qui s'allongeait. Le jeune garçon aurait put s'inquiéter, se demander qu'est ce qui allait lui arriver. Mais il s'inquiétait toujours pour cette femme. Et celle ci lui annonça que ce n'était pas du sang dont il devait avoir le plus peur. Il ne comprit pas. Alors que n'importe qui aurait été effrayé par Lyviane, lui il restait sage, effrayé certes par le sang, à ne pas bouger. S'il aurait été n'importe qui, voilà longtemps qu'il se serait enfui. Mais il n'était pas n'importe quelle personne, il était lui, et rien qu'à cause de cela, tout changeait. Même si cette femme parlait étrangement, prise de convulsions et crachait du sang à tort et à travers, il n'avait toujours pas peur d'elle. Même le rire un peu bizarre de cette inconnue ne l'effraya pas. Mais attisa sa curiosité. Nathanaël, toujours effrayé par le sang, entendit une discussion entre la jeune femme, et elle même. Elle parlait d'empêchement, de lune, de ne mériter rien de ce qui lui arrivait, de pas de choix, de mort, de survivre... Lyviane avait-elle des doubles personnalités ?

La curiosité du jeune garçon recouvrit alors complètement la peur, et il oublia même que cette femme crachait du sang. En face de lui, la jeune femme avait de longues canines, comme celle donc, des personnes des mythes que sa petite soeur préférait. Les vampires existaient-il ? Si c'était vrai, alors, allait-il se faire sucer le sang ? Après réflexion, vu que son cerveau avait enfin réussit à le calmer, il comprit. Nathanaël pouvait devenir la proie potentielle d'une créature qui à soif de sang. Savez vous ce qu'il ressentit à ce moment là ? De la surprise. Juste ça. Un peu de peur, certes, mais surtout de la surprise. Sa curiositée heureuse de pouvoir découvrir quelque chose qui n'existait pas. Mais qui en réalité existait. Mais cette femme était-elle vraiment un vampire ? Et si c'était un tigre à dents de sabres réincarné ? .... En ce moment même, Nathanaël au lieu d'être effrayé, même pas le sang, était heureux. Il rencontrait quelqu'un d'encore plus différent qu'il ne l'aurait pensé. Et quand les crocs de la jeune femme disparurent, il souriait. Ce type était vraiment étrange. Lorsqu'elle alla se cacher derrière un buisson, il se demanda pourquoi. Et c'est là qu'il le revut. Le sang. Sa peur revint rapidement, ces souvenirs revenant aussi vivement. Cette envie de vomir. Il n'hésita même pas, et vomit par terre. Sa faisait une jolie tâche colorée, entre du marron, couleur naturelle du vomi, et du jaune, parce qu'il avait mangé des pâtes le repas précédent. Il se leva, après avoir fermé ces yeux, et se dirigea sous la pluie, et près du buisson, comme pour la fois de l'abri du bus.

Nathanaël était à quelques mètres du buisson, et il re-souriait, malgré que le goût du vomi, lui restait dans la gorge, et que c'était totalement ignoble. Il aurait tant préféré que ce goût est une autre saveur, mais Dieu, ou tout autre créateur, en a décidé autrement. Mais revenons à notre sujet. Donc, alors que la jeune femme était coucher en boule derrière le buisson, le jeune lycéen, lui était tout près du buisson, debout, encore sous la pluie et l'orage qui ne l'effrayait même pas. Prenant ainsi la parole, la voix certes un peu faible dut aux événements précédents, mais présente.


- Pourquoi vous cachez vous ?

Il n'avait pas peur. Il aurait put mourir, et il n'était pas effrayé. Nathanaël s'inquiétait vraiment pour cette femme, alors qu'il venait juste de la rencontrer, qu'en plus de cela elle était étrange et certainement pas humaine.... Et c'est pour cela qu'il cherchait qu'est ce qu'il pouvait bien lui dire. La feuille d'écorcia était perdue, il ne pouvait plus joué avec, et étant de principe nerveux, bougeait les bras, on ne sait pourquoi. Sa lui prenait des fois. Et c'est une fois qu'il s'arrêta de bouger, qu'il reprit directement la parole.

- Vous savez, l'herbe est mouillé. Ce n'est pas une bonne idée.

Il ne lui parlait même pas du fait qu'elle parlait à deux, qu'elle avait de drôles de canines et qu'elle était bizarre. Preuve que son coeur d'or avait reprit le dessus sur sa curiosité et sa peur. Nathanaël était vraiment le genre de garçon qui est unique sur cette Terre, et il l'ignorait. C'était sûrement parce qu'il avait été bien éduqué, et qu'il savait ce que c'était que souffrir. Ou alors était ce parce qu'il était simplement muni d'une innocence et d'une gentillesse ?

- J'ignore si vous êtes humaine ou pas, et à vrai dire même si je suis curieux, je m'en moque. Mais, vous allez tomber malade si vous restez derrière le buisson sur l'herbe mouillé. Cela va aggraver votre cas.

Et il n'en avait absolument pas envie, parce qu'il détestait voir les gens souffrir. Il avait toujours été comme ça, avec les gens qu'il aimait bien, même si ceux ci étaient des étrangers comme maintenant. Mais peut-être que la pluie et la fraicheur calmait la douleur de cette femme ? Tant pis, il n'avait pas envie qu'elle tombe malade, voilà tout.

- Et je n'ai pas envie que cela arrive.
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedLun 3 Nov - 2:30

[Hj: En passant je suis une Hybride, ils ne devraient pas tarder a changer mon Statut ^_^'.]

La jeune femme restait allongée dans l'herbe mouillée, elle ne bougeait pas, avait le respire lent et haletant, tentait de se calmer car la bête pouvait revenir on ne sait quand. Des qu'elle vue le jeune homme s'approcher d'où elle était, elle se mis a quatre pattes et sur un coup de tête se recula effrayée contre un arbre. C'est réaction étaient démesurée, mais dans l'état plus "Hypnotique" dans lequel elle était, tout semblait immense et doubler de son importance. Elle le regarda de ses grand yeux bleu effrayer et n'osa pas bouger plus, un filet de sang coulait toujours de sa bouche, sa gorge était sec et irritée et il faudrait trouver quelque chose pour la guérir. Le sang était le seul remède et elle devrait en trouver rapidement.

- Allez, partez ou sinon vous sombrerez dans l'Enfer des Damner ..Partez!

Elle pesa ses mots et les dit fort, tellement rauque qu'elle se mit a tousser encore une fois et se retrouvait une nouvelle fois recroquevillée. Il fesait si froid autour d'elle sang le doux nectar interdit qui revigorait ses organes vitaux, elle s'imaginait baigner dans le sang se sa victime, il imbibait tout ses vêtements et seul sa chaleur pouvait la transpercer. La chaleur humaines un peu et la chaleur des vêtements ne se faisait presque pas ressentir. Elle restait accotée contre l'arbre sans bouger. Elle ressemblait a une statue de Marbre, figée dans le temps, son teint pale et son air figée, empreint de tristesse et de crainte, elle était de nouveau a genou. Elle resta figée.

Dans on esprit se passait un dilemme inclassable.
Dans un temps record, tout l'univers construit a travers les centenaires vécu, s'écrasèrent comme un château de carte au vent. Son esprit défaillait en cet endroit qu'était Forks, il défaillait a un tel point qu'elle se mourrait petit a petit, ne sachant plus de quoi se nourrir, ne sachant plus ou aller ni ou se perdre. Ce qu'elle était commençait sa déchéance, elle n'Était plus qu'un corps désormais, elle vit de s'en rendre compte. L'éternité ne lui appartenait donc plus? Elle n'avait pas encore trouver son créateur, elle ne pouvait se résigner a mourire maintenant. Mais tout protestait contre le temps, elle ne l'aurait donc plus?

Des larmes coulaient sur ses joues froide, celle-ci se transformèrent étrangement en glace, son expression était toujours autant figée et son souffle court.

- Combien de temps me reste-t-il? ..

Dit-elle tout bas. Sans se préoccuper plus du jeune homme devant elle, elle se leva fébrilement et s'accota contre le tronc de l'arbre, posant ses yeux devenu gris-bleu vers le ciel.

- Combien, encore combien de temps me reste-t-il. Saurais-je ce que je veux avant de "Mourir" si le terme est bon? ..

A savoir si son état était Bipolaire. Avec le temps, elle ne s'en n'était peut-être jamais rendu compte, mais cela venait avec sa transformation, proche des pleines Lune ou lorsqu'elle manquait de sang humain, tellement plus chaud que celui des animaux.

Son cœur se remit a battre normalement, son souffle redevenait normale, elle tomba au sol, aussi raide et durement qu'une brique, inerte ..
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedMar 4 Nov - 2:46

Nathanaël ne bougeait pas. Ne bougea pas en tout cas. Pendant toute la scène, pendant tout ce temps, il ne sut faire que regarder, ne fut même pas effrayer, et juste en partie épaté. Il crut voir un chien perdu, lorsque Lyviane se mit à quatres pattes et alla contre l'arbre. Le sang l'effraya un peu, il fallait l'avouer, parce que même s'il avait réussi à ne pas en avoir peur quelques minutes, il savait que sa ne durait jamais longtemps quand il tentait de battre ces peurs. La jeune femme lui hurla de partir que sinon Nath' sombrerait dans il ne savait quel enfer, ni pourquoi, mais ce qu'il était vraiment sûr, était que cette femme n'était pas du tout humaine. A présent, il en était vraiment persuadé, car même précédemment il avait quelques doutes. Lorsqu'elle se demanda sûrement a elle même combien de temps il lui restait, le jeune garçon s'inquiéta encore plus. Mais que pouvait il faire ? Mis à part la regarder s'effronder lentement ? Perdre son sang ? Il fallait être fou pour se jeter dans la gueule du loup, et à cause de sa peur, il ne pouvait pas trouver on ne sait où du sang, sûrement ce dont elle avait besoin, pour lui en donner. Lyviane tomba alors par terre, et c'est là que Nathanaël bougea enfin, malgré qu'elle lui est demander de partir. Il ne partirait pas.

Les seuls amis qu'il avait eut, le savaient.Un jour, l'un d'entre eux avait saigné en tombant par terre, il ne savait plus pour qu'elle raison, et le jeune asiatique, après avoir tout de même vomit un coup, avait porté son ami sur son dos pour le ramener chez lui le soigner, et même s'il avait dut être malade le lendemain, hanté par la pensée du sang, il s'en était quand même occupé du mieux qu'il pouvait. Et à présent, la scène se rejouait, mais en changeant assez de choses. Nathanaël commença à marcher vers Lyviane et s'assit à côté d'elle, il ne savait que faire, sachant qu'il était sûrement tombé dans la gueule du loup, comme un pauvre agneau naïf et sans défense, il s'en doutait parfaitement, et malgré cela s'en moquait. Il ne connaissait pas le moins du monde cette femme, il ne savait même pas ce qu'elle était, bien que plusieurs suppositions se posait dans sa tête. Il venait tout juste de la rencontrer. Mais elle était différente des autres, et était gentille, en tout cas pour le jeune garçon, et il ne pouvait pas partir, la laisser seule sur son triste sort. Et, comme il ne savait que faire, il pêta complètement un câble, sa lui prenait souvent quand devant quelqu'un de triste, il ne pouvait rien faire. Il parla, de n'importe quoi certes, mais il se mit à parler.


- Il pleut, et normalement je suis normalement dans mon appartement tranquille. Mais j'adore la pluie, parce que je trouve que sa sert de lavage de cerveau. J'suis pas du genre à être quelqu'un qui derrière son sourire cache un triste passé, en fait, j'aime vivre la vie. Je trouve que se dire « je vais mourir » c'est stupide. Il faut vivre. Qu'elle que soit la raison.

Il avait connu une amie suicidaire par un moment, et grâce à ses mots, doux et gentils, innocents et franc, il avait réussit à empêcher qu'elle se taillade les veines. Peut-être avait-il eut du mal, peut-être avait il fait vraiment n'importe quoi, peut-être que son cerveau avait dut enduré un choc mémorable, mais il l'avait empêché. Et à présent c'est la seule chose qui comptait pour le jeune garçon. Il avait aussi rencontrer un jour une femme qui devait mourir dans peu de temps. Et elle s'accrochait aux seuls bouts de vivre qui lui restait, tentant souvent de vivre encore.

- Si tu meurs rien ne changera, tu pourras plus empêcher ta mort. Mais si tu vis, là tu pourras sûrement changer.

Il souriait, et continuait toujours de parler. Il racontait à quel point il aimait les écorcias, à quel point il aimait sa famille. Il disait à quel point il aimait la vie. Nathanaël avait toujours été comme ça, bavard, imprévisible, stupide et naïf, et il le savait, il était toujours différent des autres. Il avait toujours voulu l'été, pour tenter d'être apprécier d'une manière différente de d'habitude, pour entendre des nouveaux mots. Peut-être que cette femme allait l'attaquer, peut-être qu'elle allait le blesser gravement, peut-être qu'il aurait mal, mais il s'accrocherait à la vie, quelque soit la raison. Même entre la vie et la mort, il sourira toujours en disant « j'aime la vie ». Alors qu'il n'en avait aucune raison, alors qu'il avait vécu beaucoup de choses malheureuses... Mais, il aimait la vie, parce qu'il l'aimait, il n'y avait aucune raison à sa, tout comme l'amour. Et c'est pour cela qu'il souriait toujours, ou tout du moins le plus souvent. Il avait été toujours contre le suicide, et avait tout fait pour empêcher tant de personnes de passer à l'acte. Quand il apprenait un meurtre, il soupirait, quand il apprenait la mort de quelqu'un tout court, il soupirait de toute manière. Nathanaël savait qu'il devait mourir un jour, mais il s'accrocherait jusqu'au dernier souffle, jusqu'à ce que ces yeux se ferment définitivement.

- J'espère que vous allez mieux.

Il avait finit par conclure cela, alors qu'il parlait de choses diverses, et que même pendant son discours un peu bizarre, il c'était mit à mélangé toutes les langues qu'il connaissait. Peut-être n'y avait il pas que la pluie qui lavait les gens ? Nath' avait juste ressentit un besoin de parler, comme s'il croyait que la jeune femme irait mieux grâce à sa. Comme si le fait qu'elle apprenne les goûts principaux du jeune garçon la ferait revivre. Etait-il idiot ? Peut-être, mais il voulait juste qu'elle aille mieux. C'était tout.
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MessageSujet: Re: Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent.   Il pleut, les feuilles d'écorcias tombent. Icon_minipostedDim 9 Nov - 4:45

[Désoler du temps de réponse, il me fallut plus longtemps pour retrouver de l'inspiration que prévue. Et j'avoue que la bonne note que j'ai écoper pour la pièce de théâtre que j'ai écrite de 15 pages ma rebooster x) ]

Elle se releva avec l'aide de l'arbre, son corp semblait lourd et ces actes, lourd de conséquences, c'est pas conséquent qu'elle devait s'en aller, bien avant de la mordre, bien avant de le tuer. Elle ne pouvais se résigner a faire comme avec sa petite protéger de Londres et en faire un "Demi-mort", qui sait ce qu'une morsure peut changer. Elle n'avait jamais su, d'ailleurs ce qui avait changer en elle a cause de sa solitude profonde et son besoin de l'exile, mais elle ne voulait pas voir ce jeune homme se faire pervertir par un esprit corrompu par le mal et pervertie aussi d'ailleurs. Il avait tellement de bonté a donner au genre humain que l'enlever de force a ce qu'il connaît et a sa terre natale serait un Pécher Originel. Savoir qui devait y passer ou qui devait vivre n'étais pas en son pouvoir même si par quelques fois, sous le coup de l'impulsion, elle avait mis fit a ses désires égoïste et sans scrupule.

Elle s'accota sur l'arbre de tout son poids et regarda le sol, trop lasse pour bouger davantage et hésitait sur certain mouvement. Elle avait écouter le jeunes hommes parler, sans plus, elle essuya la dernière bavure de sang a sa bouche et commença a clopiner vers la foret.

- Je suis désoler de tout .. A Dieu.

Elle ne pouvait se résigner a s'attacher une fois de plus au genre humain. De plus qu'il connaissait son secret, il n'en parlait peut-être pas, mais sa naïveté l'amènerait a sa propre déchéance par le billet d'elle-même. Elle ne pouvait plus se résoudre a faire du tord alors que son séjour commençait et que ses recherche commençait a voir un dénouement pour le moins, réjouissant. Une vois martelait dans sa tête, sans précaution, elle trébucha une secondes fois au sol, se prenant pieds dans une racine. Elle resta de longue minutes, affalée au sol, ses mains qui tâtait le sol humide. Elle ne bougea plus et décida de s'endormir la.

- Humm ..

Elle ferma les yeux et s'en se préoccuper de rien, commença a somnoler.

"Qu'est-ce que tu fais la? Sale inconsciente, tu ne peux pas t'endormir la! Tu sais ce que peuvent faire les rayons de soleil sur ta peau! Lève-toi et vas DANS le bois, ou tu t'es endormis hier. Ne perd pas de temps et prend ton courage. Nous irons chasser plus tard .."

La jeune femme commença a ramper au sol et se leva étape par étape, elle manqua de se planter, mais arriva tout de même a se ramener droite et poursuivre son chemin vers le bois. A l'orée de celui-ci, elle tourna sa tête et regarda le jeune homme du coin de l'oeuil.

- I need to say, I'm so sorry ..

Elle disparut en courant dans les bois ..
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