Comment me trouvez-vous ? (pv Joseph)

La petite bourgade de Forks, son charme, sa pluie constante, ses long matin de légère brume, ses foret verdoyante et surtout ses êtres fantastiques. Décidément, tous avait élu domicile dans le village ou dans les environs. En délaissant même les grandes villes de Port Angeles ou encore Seattle. Les vampires comptait beaucoup de maitres en matière, par exemple, de torture, Gabriel, de puissance, les Volturi, de pacification, Carlisle et j'en passe. Seulement, ce palmarès compte aussi dans ses rang la reine de la manipulation, l'impératrice de la puissance, la déesse de la beauté et la femme la plus imprévisible et la plus insensible que la terre n'ait jamais porté. J'ai bien sur nommé Sulpicia Volturi. Cette charmante femme, d'apparence, vrai monstre, en réalité, avait décidé de venir contrôler les vampires qui hantait le lycée de Forks.

Parcourant les couloirs, un trousseau de clé en main, un mort sur la conscience parmi tant d'autres, Sulpicia Volturi, la femme vampire ayant le plus de pouvoir sur terre, s'avança vers la porte de la salle d'un des vampires de Forks. Peut être la connaissait-il ? Peut être pas mais il allait apprendre a se connaitre. La légère main (poigne de fer dans un gant de velours) assena deux coups distincts, gracieux et pourtant ferme sur la porte en dégageant son parfum envoutant qui imprégna le panneau de bois. Son élégant manteau de sortie, ses gestes raffinés, ses yeux impressionnant, tout le monde était envouté par l'épouse quel qu'il soit mis a part peut-être quelques uns qui apprendront a rester sur leurs gardes...

Les élèves de Terminal venait a peine de sortir de classe, en ne laissant que certain au bureau de M. Davis pour quelques explications en relations avec divers cours pour les révisions de leurs prochain contrôle, annoncer pour le Vendredi d'après. Les deux jeune fille a présent sortis, il put soupirait a l'idée des projets de l'après-midi. La matinée était bientôt terminé, pour les élèves biensur, mais pour notre grand gaillard... Plus rien... Il restait seulement pour travailler certaine choses avec ces libres de classes et exposer a ses collègues certain conseils. Assis pour l'instant en regardant les divers feuilles de papiers étalées sur la grande paillasse, la faible lumières émanant des fenêtres vint lui faire remonter la tête. Même cet après midi il n'avait aucun cours à donné... Tant mieux il pourrait aller chasser un peu vers le Nord.

Pourtant une rencontre aller tout changer en cette matinée de Vendredi, terminé pour lui. D'un calligraphie presque parfaite, car tout n'est pas parfait dans ce monde, il écrivit une lettre.. enfin une lettre, plutôt un roman si on regardais les vingt sept pages déjà remplis d'une fine écriture à l'encre noir. Personnellement, c'est ce que je ferais si je reprenais contact avec un vielle ami, ayant maintenant plus de quatre vingt dix ans... Il se leva, toujours dans une élégance parfaite et écrivit une phrase d'un italien pûre. S'il avait put avoir un frisson lui parcourant le dos, ça serait sûrement a se moment.

" Entrez... "

Dit il d'une voix roque et grave. Il ne préfèra pas entrer dans les pensée de sa futur interlocutrice sachant déjà qui elle était. Il n'aimait pas ça, que pouvait bien faire, la douce reine et la soyeuse femme d'Aro, ici... ? Il descendit l'unique marche de l'estrade ou se trouvait son bureau et dans un élan rapide alla chercher un de ces bouquin manquant à l'appel pour ses prochain cours. Le courant d'air que fit passé la jeune femme quant elle entra, ne fit même pas retournée Joseph pour la regardais...

Sulpicia Volturi poussa donc la porte et laissa son parfum envahir la pièce. Ce qui était fort plaisant, c'était de savoir que l'on était protégé par son don contre les dons des autres. L'épouse regarda autour d'elle afin de sentir les diverses odeurs appétissantes des élèves récemment partis.

- Vous avez des élèves très appétissants et particulièrement odorants. Je me ferais une joie de venir pendant les heures de cours un de ses jours

Un sourire satanique se dessina sur les fine lèvres pourpres de la vampire. Elle peut s'adonner a son hobby préféré : la torture d'esprit. Elle retira délicatement ses gants de velours blancs et les déposa sur un banc. Elle resta debout mais elle s'appuya contre l'appui de fenêtre. Elle fixa le dos de Joseph qu'elle avait déjà vu.

- Vous n'êtes pas très bavard en tout cas. Je suis sur que vous savez qui je suis...

Le regard d'un rouge flamboyant et séducteur de l'épouse resta intensivement rivés vers le professeur vampirique qui avait surement œuvré toute son éternité pour être intégré...

Elle entra sans doute, dégageant sa somptueuse odeurs, déjà immaculer il y a plusieurs années. Des siècles même, il n'en n'aurait presque plus le souvenir, si on ne lui avait pas rappeler qui était déjà les Volturis, cet famille, Royal soit elle de l'ordre vampirique en ce monde, faisait donc respecté les lois, ou du moins la loi d'or, celle de ne jamais ce révélait. Aro aurait il découvert ces fait vis à vis d'Eric ? Joseph en douté. Même ça il ne l'imaginer pas... Il soupira doucement, inaudible pour un humain, puissant pour un vampire. Il dut sourire a l'humour de la jeune femme, malgré qu'il savait parfaitement qu'elle serait capable de le faire un de ces quatres. Durant le temps qu'il serait là, c'était tellement possible les choses qui pourrait se passer en les heures où il se ferait voir. La ravissante Sulpicia guettait ces mouvement, tel un lionne prête à bondir. Malgré cela, la jeune femme, n'aura pas eut la chance d'avoir le sourire fantassin à sa remarque. Il grogna comme même pour la mettre en garde, même si c'était lui qui se devait d'être en garde. Il y a un siècle tout rond qu'elle n'avait pas croiser ces pupille pourpre, elle risqué d'être choqué... Celle si était partagé dans le gris. C'est tellement bien ces lentilles, il detester avoir cette couleur carmin ou topaze dans les yeux. Et puis de toute façon, il n'était que plus rassurant et ordonné, enfin, c'est ce que prétendait la conscience et même les paroles de ses collègues de travail.

Son sourire satanique qui s'élargit sur son visage, lui, Joseph, le sentit clairement comme celui qu'elle lui avait afficher à Volterra quant il était de passage... Un regretable moment... Il n'avit plutôt pas envies de prendre paroles, pas qu'il n'était pas bavards. L'existence d'un vampire n'avait guère de chance, mais Joseph ne conté pas dans ceux qui était les plus malheureux de la planète.

" Peut être ne suis je pas bavard, car vous vous trouvez ici, Sulpicia... "

Sa voix froide et pourtant toujours élégante, veloupté et douce avait fait du chemin depuis leur première rencontre. Joseph releva la tête, toujours de dos, mais ce fut pour tendre l'oreille... Un compagnon bien viril revenait d'un bien long voyage. Il ne tarda pas à ouvrir la fenêtre et levait le bras, majuestement, se découvrant ainsi donc a la l'épouse, dit " La reine ". Elle devrait plus souvent porté ce rang. Son aigle d'un pelage, si je puis me permettre, était d'un blanc éclatant, tel la neige sur les pic de haute montagne. Il le caressa de la tête, refermant la fenêtre doucement avec délicatesse.

Le rire cristallin dut au grognement de Joseph résonna dans la pièce. Ainsi il croyait impressionné celle qui pourrait le casser d'un main ? Quand le professeur ouvrit la fenêtre de la salle de classe, un aigle vint a lui, blanc et magnifique. Elle se souvenait de cet animal. Mais il devait se souvenir de son singe. Il guettait toujours les alentours, protégeant sa maitresse. Un sifflement étrange sortit des lèvres pincées de la "reine". La porte s'ouvrit laissant entrer un magnifique singe doré, aussi attirant que ça maitresse. Son passe temps favori ? Arraché les ailes des oiseux et autres animaux volants. Un sadique comme sa maitresse. Il se glissa sur les épaules de Sulpicia, ses yeux aussi rouges que ceux de l'épouse se posèrent sur Joseph.

" Essayerais-tu de m'impressionner jeune vampire, dit-elle plus froide que n'importe quel cadavre, je suis l'épouse... Et tu n'es qu'un de mes sujets... "

Elle le fixa d'un air inquisiteur et manipulateur. L'affrontement cordial ne fesait que débuté et n'allait pas finir de si tôt...

[Je doute que je réussise a ne pas echapper a devenir l'ennemi de Sulpicia ainsi donc commencé]

Ainsi commencé, Oui... Joseph n'aller pas revoir la couleur des yeux d'une proie telle la fureur et la colère qu'il engendrera de la "Reine" s'il continuait dans le chemin qu'il avait entreprit de prendre. Jamais il n'en reviendrait, même s'il était de taille a l'affronter, il n'aurait pas aimer s'en prendre à elle, de toute façon pas la peine... Il se ferait toute suite charcuter par la garde. Autant n'avoir aucun redevant envers elle. Son aigle aussi posséder les même yeux topaze qu'il avait, seulement cacher d'un gris puissant et roque. Jamais il n'avait vraiment voulus cela pour lui mais de grâce, un tel cadeau, précieux pour le visage de la famille Davis : " Devait rester jusqu'à mort soit jeter sur son propriétaire " telle était la règle. Il baissa son regard de la dame, n'ayant que fait cela pour ce détourner de son singe d'or. Son pellage était plutôt de feu, si je n'ose dire. Sa voix n'était un souffle a présent... Comment devrait il répondre a ce qui serait la dernière personne a sûrement le regarder de corps entier ? La douce musique qu'il avait composer comme berceuse lui revint à l'esprit. Son regard puissant ce changea en un mélancolique, remplis de tristesse a cet pensée, a ce jour où il lui avait composer... Il tendit le bras, pour que le jeune aigle se pose sur son avant bras. Dès que ce fut fait, l'inévitable se fit voir, les serre du rapace s'enfoncèrent dans sa peau pour se maintenir solidement. Les quelques gouttes de sang tombèrent a terre mais l'expression qu'on pouvait lire dans les yeux de Joseph, n'était que l'ignorance et se reste de malheur.

" Impressioner... Loin de là... "

Il se tut un instant, les regardant à présent, elle est son compagnon.

" Me défendre n'est que ma simple cause a cet instant... "

Sa voix a ce moment là n'était rien qu'un bourdement pour un être humain. La fenêtre se réouvrit bien vite pour laisser voler le volatile. La cicatrisation du bras de Joseph ne commença pas toute suite. Même s'il se devait de respecter l'épouse d'Aro, il n'en devait dans l'obligation d'écouter ces paroles...

" Me défendre n'est que ma simple cause a cet instant... "

- Me défierais-tu jeune vampire ? Si c'est le cas je suis partante mais je ne te laisserai aucune chance. Tu as déjà dus remarquer que ton don avec moi est inutile pour toi mais utile pour moi puisque je pourrais lire dans ta tête si tu essaye de lire dans la mienne

Le regard flamboyant de la Reine incendia le regard de végétarien de Joseph. Contrairement a tous les Volturi, Sulpicia s'était battue pour la sauvegarde des végétariens. Elle avait fait établir des lois les concernant pour empêchés leur extermination par la dynastie. Elle s'approcha de Joseph et elle resta a quelques millimètres de lui. Elle pouvait sentir son odeur, effleurer son corps ou même le mordre a la nuque sans difficulté. Cet instant n'allait peut-être pas durer puisque l'autre vampire allait peut-être se dégager mais elle profita de cette situation pour se pencher et lui susurrer à l'oreille quelques mots.

- Je te laisse frapper le premier si tu le veux.

Une odeur de métal chaude remplaça vite l'irrésistible fragrance précédente.

- Tu es si faible et si peu courageux. Tu es aussi si peu tactique. J'ai de l'expérience et je suis peut être la seule qui ai jamais résister a ton don menaçant avec un retour de flamme.

Un sourire se gravé... ou du moins s'esquissa sur le visage, blême pour toujours, à ce qui ce désigner comme de la provocation par la " Reine ". Un sourire de séduction ? Un sourire de soumission ? de courtoisie ou bien de sadisme... Pour le dernier, je ne pense pas, il aurait été accompagner d'un rire, vu ridicule ou inutile par la dame. Elle l'aurait déjà foudroyait, s'il avait osé se permettre cela. Sûrement les dernieres minutes, peut êtres des heures en gagnant du temps, serait ces dernières. Espéront que j'ai tord...

" Pourquoi voudrais - je vous défiez ? Je n'en vois point l'interêt... "

Sur cet phrase, il baissa sa tête. Nuque a découvert. De toute façon, en aucun cas il avait une chance dans ce combat, alors pourquoi le commencer. Entre eux deux, cinq cents ans les séparé. L'odeur de métal chaud remplacante, l'ennivrantre odeur de la femme d'Aro. Il se retourna, la regardant, pas de haut, certainement pas pour ce qui se tenait à présent devant lui. Elle avait, sans doutes raison sur ce qu'était Joseph, aucun courage, aucune bravoure, n'affirmant en aucun cas ces valeurs... Faible, on ne peut pas dire que Joseph soit le plus fort Vampire que connait la belle planète bleue. On ne pouvait pas vraiment aussi dire que le grand brun été sois " Végétarien " ou " Traqueur ", l'un devenant rapidement sa priorité.

" Je doit être... Peut être.. au moins... un survivant, même si le temps qu'il c'est écoulé depuis ce que je suis, est bien court pour un vampire... "

Une grande bouffé d'air frais fis sont entrer depuis l'autre pièce. Encore un professeur qui ne se soucier pas de la consomation d'énergie du lycée de Forks. Sa fierté était rabaissé en sa totalité. Il se leva, marcha quelque pas, mains dans les poches, tête toujours baissé... S'il aurait put exprimer sa honte éminente, il serait méconnaissable.

" Pardonnez mon comportement... Tant de choses on changé depuis notre première rencontre a Volterra. "

Qu'avait il donc pour culpabiliser a un moment pareille, Keath n'aurait pas été fier de lui, loin de là...

[ Keath faisait partis des personnes accompagnant Joseph lors de la rencontre entre les Volturis et lui ]

- Voila qui est sage jeune vampire

Elle resta immobile telle une statue de marbre, ne trahissant aucune émotion, aucun sentiment. Sulpicia ne laissa aucune mimique de visage transpercé son sublime visage blanchâtre.

- Pourquoi n'as-tu jamais rejoins les Volturi ?

Ses yeux perçants et froid se posèrent sur Joseph. C'était le vampire le moins téméraire qu'elle eut jusqu'à aujourd'hui. Pourtant son don était très utile et devait lui éviter toute rencontre ou phrase qui le ferait avoir des problèmes.

- Tu aurais appris le combat, la force, la sagesse

Elle s'approcha encore plus de lui dans un mouvement infiniment rapide.

- N'est ce pas Joseph

Elle fit trainer la dernière syllabe dans un souffle séducteur et envoutant.

Toujours de dos, un regard neutre et hésitant, voilà ce qu'avais en se moment même Joseph dans les yeux. Il était vide, incapable de quoi que ce soit. Mais malgré tout, il devait encore affronté, la stupeur que lui faisait courrir l'esprit a tout va, a la vue de la "Reine". Elle, resta de marbre, tel une sculpture. Joseph ne s'en soucia pas... Or sa voix, sensuelle, roulant avec vertuause, chantant presque tel un elfe, posa cependant une question, évidente ? Trop même.

" Car en devenant l'un de vos rangs, j'aurai perdut la fierté de ma famille... Même si a présent, malgré ma soeur encore vivante, je n'ai plus vraiment à m'en soucié... "

Il sentait le regard perçant de la Dame, prête a tout moment a en finir avec lui, cela il en était certain.

" La sagesse, l'art du combat et la force ne m'aurait guère apportait quelque choses de plus en moi... "

Sa voix avait repris son ton veloupté et sensuel, la grâce en elle même a priopris. Le mouvement rapide de ses pas ainsi que la façon dont elle finis sa phrase dut méconnaissable de Joseph. Que cachait la Dame, la plus haute après Aro, dans la famille Volturi ?

" Car en devenant l'un de vos rangs, j'aurai perdus la fierté de ma famille... Même si a présent, malgré ma soeur encore vivante, je n'ai plus vraiment à m'en soucier... "

Sulpicia regarda d'un air inquisiteur Joseph

" La sagesse, l'art du combat et la force ne m'aurait guère apporté quelque choses de plus en moi... "

Cette phrase ainsi dite n'avait jamais plut à la Reine. Un sourire pervers et malin se dessina alors sur ses traits

- Ainsi tu trouves donc ces vertus inutiles ?!

D'un geste vif, elle détruit le bureau de Joseph. Sulpicia se remit alors a proximité de Joseph et le prit au cou. Sa main serrait fort la nuque du vampire mais Sulpicia ne forçait pas beaucoup. Sa poigne était malheureusement très puissante.

- Ces vertus ne te sauverais pas à cet instant ? N'importe lequel des humains pourrait te réduire en miette.

Elle ne lâcha pas prise.

- Ne répète plus jamais une phrase comme celle là. Ma garde n'aurait pas eut autant de pitié.

La Reine lâcha Joseph en le poussant afin de le rapprocher du mur du fond.

L'air inquisiteur a la suite de sa phrase l'aurait fait sourire d'habitude... Mais avec Sulpicia, il ne valait mieux pas s'attirer ces foudres. Puis vint le tout du sourire, bien trop malin, et cela n'annonçant rien de bon. A qui la faute, sûrement celle de Joseph. Il ne répondit pas... Peut être un soupir lorsque son bureau, même vide de tout papiers et fiole dégringola dans un brouahara pas possible. La poigne qu'empoigna sa nuque était forte et puissante, même si Joseph n'y ressentait rien de très douloureux. Il ne pouvait seulement pas parler, ces cordes vocals privé par la fermeté du geste de Sulpicia. Difficile de faire savoir quelque choses. Ce fut seulement quand elle lacha prise, l'envoyant valser par la même occasion contre le mur du fond qu'il peut retrouver la liberté de la parole.

" Vertus ou pas, je n'est pas préféré me défendre seulement car vous étiez mon adversaires, je n'aimerai pas voir votre garde arriver dans le lycée et emeuter les étudiants... De toute façon, qu'elle aurait été mes chances de me libéré de cet étot ? "

Il était franc, mais gardé tout de même un respect inconditionnel. Ce fut rapide, tellement rapide que seul le bureau central attira des curieux, quelques coup a la porte, rapidement pris en charge par Joseph, qui expliquant brievement le probleme les fit ce volatilisé en un clin d'oeil. Il rammassa rapidement sa sacoche de cuir noir, la mettant sur une paillasse normale. Il entendait les pensées des passant, des professeurs jusqu'a la salle des professeur. Il craqua son cou, comme pour montrer qu'il fallait qu'il se détendent, tout en restant assis sur la paillasse, proche de la femme d'Aro.

- Tu sais que tu me plais ?

Elle s'approcha de Joseph, passant la langue sur les lèvres. La machine de charme et de séduction était en marche.

- As-tu entendu parlé d'un certain Gabriel ?

Sulpicia plongea des yeux irrésistibles dans le regard du professeur

- Son histoire est passionnante mais il sépare les vampires en deux parties très distinctes : Son équipe et les Cullen...

Elle s'assit sur la chaise rescapée a coté des débris du bureau et elle frotta son pied contre la jambe de Joseph en se mordant la lèvres inférieure.

-Quel camp va tu choisir ? Vas-tu me rejoindre ou rejoindre ce Gabriel ?

[Sulpicia est contre Gabriel. Soit elle va se battre aux cotés des Cullen ou s'il refuse avec son propre rassemblement. }

Il ne répondit pas a la premiere question. Joseph était un homme charmant, mais de ce point a se faire apprecier de la dame la plus haute hiérachiquement dans le monde vampirique, c'était presque un exploit. Langue sur lèvres, il se laissa faire, sans brusquerie, perdut dans ses pensées, dans ses souvenirs... Quant elle parla de Gabriel il revint a la réalité.

" Alice c'est faite attaqué avec deux humaines je crois ? Gabriel nuit a notre secret, et cela pour l'ensemble des vampires, n'importe où dans le monde... "

Ces yeux irrésistible d'un pourpre rouge ce planta dans les sien, gris et perdut encore une fois. Il se rappelait des pensées de Carlisle et de toute la famille vis à vis de cela. Il ce retourna, comme ayant entendus quelques chose de suspect... Enfin suspect, plutôt famillier. Le singe doré était descendut de la dame quant elle avait attaqué Joseph, il jouait a présent avec les scorpions du vivarium.

" Vous devriez dire a votre compagnon que les scorpions ne sont pas d'excellent goût... "

Dit il avec un petit sourire pour accompagner sa phrase, un sourire timide rien de trop extravagant... Lorsqu'elle s'assit, avec élégance sur la chaîse survivante de l'attena du bureau, frottant doucement sa jambe contre celle de Joseph, celui-ci était encore perdut, ne faisant rien a ses prouesses.

" Je n'ai pas de camps, mais si Alice est en danger, je n'irai pas me contenter de Gabriel... "

Dit il, presque ravageur mais gardant son calme et un sang froid impérial.

Sulpicia regarda longuement Joseph parler. Gabriel avait essayer d'atteindre les épouses lors de son attaque de Volterra il y a si longtemps. Le perturbateur de la hiérarchie était d'une puissance sans égale.

- Tu n'es pas sans savoir que nous, Volturi, avons été attaqué il y a a bien longtemps à l'échelle humaine par Gabriel. Il a été le seul vampire qui a réussi a pénétrer et a atteindre les épouses...

La Reine frottait toujours sa jambe contre celle de Joseph et son timbre de voix aurait déjà séduit n'importe quel humain. Elle regardait le vampire avec un regard séducteur, envoutant, excitant même. Enfin, pourtant il restait impassible

- Je suis navrée d'avoir détruit ton bureau mais si tu veux vraiment rejoindre ma garde...

Son regard pétilla d'une malice aussi séductrice que ses mouvements. Elle pencha légèrement la tête à droite et fixa toujours Joseph.

On lui avait rapporté les exploits, ou du moin, la tentative de suicide qu'avait presque voulut Gabriel en atteignant les épouses de la famille Royal. Il n'était même pas né, mais l'histoire faiblit seulement ceux qui commence à la connaître. Bref, Joseph était évasif a l'instant, il réfléchissait, au nuit sanglante de ses première journée. Le scintillement de sa peau, son souffle n'ayant absolument rien pour son corps, sa vue incroyable et les premiere sensations de sa nouvelle vie. Il aurait voulus pleurer...

" Je crois qu'il est devenu plus impitoyable à présent... J'ai sus par l'esprit d'Alice la violence de ses attaques.. "

Dit il, en regardant, d'un regard vide mais gris, la dame. Son ton et ses manières en aurait déjà envouté, oui, déjà un homme, mais Joseph n'avait pas le plaisir en tête, il n'avait que le malheur et le sang sanglant... Il frissona même en pensant au meurtre de ses parents...

" Je n'est jamais dit ça... "

Surpris, d'une voix avec un octave bien plus haut que le précédent. La aussi, il réfléchit.

* Que pourrais m'apporter sa garde ? *

" Que m'apporterai t-elle ? Je ne vois pas pourquoi, même si mon don est un fait intérressant... "

Il se redressa, se remmettant debout, mains dans les poches, l'esprits ailleurs. Qu'avait il a perdre, seulement la vie peut être ? Autre choses, ses amis... Eric ou Kara...

- Oserais-tu contredire ma parole ?

Sulpicia se redressa mais elle n'était pas en colère non pas comme tout a l'heure. Joseph s'était déjà redressé. Elle se rapprocha de lui avec une lenteur presque sensuelle et elle plongea son regard dans le sien. Son ton parfait vibra de ses cordes vocales avec une douceur inégalée.

- Ma garde te permet de te hisser plus haut dans la hiérarchie que la garde principale de Volterra. Elle te permet d'avoir plus de pouvoir et de bénéficier de ma protection par rapport aux autres vampires et à ceux qui convoiterait ta place dans la garde principale. Ma garde privée t'apporte également la certitude de ta survie et le laisse libre de toutes occupations mis à part quand j'ai besoin de toi mais juste en temps de crise et une fois par ans. Tu sera libre de posséder une chambre dans le palais de Volterra et dans la demeure secondaire des Volturi, ici à Forks. Et puis tu es également laver de tout méfaits devant le conseil des fondateurs.

Sulpicia caressa la joue de Joseph avec le dos de sa main droite, ses yeux bleu plongé dans ceux du vampire

" Seulement si j'avait été suicidaire "

Répondit il, un sourire en coin. Il était rare, très rare devant une personne de la famille royal, que l'un de ses " sujet " comme il le disait si bien, leur sourient. Sa lenteur sensuelle, son allure et son regards ne fit rien que le remettre dans son état évasif.

" Ma garde te permet de te hisser plus haut dans la hiérarchie que la garde principale de Volterra. Elle te permet d'avoir plus de pouvoir et de bénéficier de ma protection par rapport aux autres vampires et à ceux qui convoiterait ta place dans la garde principale. Ma garde privée t'apporte également la certitude de ta survie et le laisse libre de toutes occupations mis à part quand j'ai besoin de toi mais juste en temps de crise et une fois par ans. Tu sera libre de posséder une chambre dans le palais de Volterra et dans la demeure secondaire des Volturi, ici à Forks. Et puis tu es également laver de tout méfaits devant le conseil des fondateurs.

- Il n'y a même pas une seul conditions a tout ça ? J'ai ma soeur et un ami, je ne peux pas les laisser ici, car je suis sûre que je devrais rentrer a Volterra en votre compagnie... "

Dit il, non pas déstabilisé ou effrayé, mais simplement en réaction pour l'avenir de ses compagnon. Regard dans le sien, et inversement... Sa voix veloupté ne fit pas réaparition car il se dégagea de l'étreinte de Sulpicia pour réfléchir a tous ce qu'il laisserait...

- T'obliger de rentrer avec moi ?

Elle rigola aussi fort qu'elle le pouvait. Elle n'avait guere l'attention de l'enlever de là surtout qu'elle avait besoin de quelqu'un pour surveiller Forks et les Cullens. Le moindre faux pas de la famille devait être communiquer à Sulpicia pour éviter que son mari ne détruise le clan d'Olympic.

- De tout façon j'ai besoin de quelqu'un ici à Forks

Sulpicia se rapprocha alors de Joseph qui s'était dégagé de son emprise.

- Personne ne pourra t'obliger à quitter tes amis ni Forks. Ma garde privée est libre de toutes actions.

Un sourire se dessina sur le visage de la Reine

- Et puis, comme tu es le premier qui souhaite rejoindre ma garde, tu auras une place très importante. Donc tu posséderas plus de liberté sans pour autant avoir plus de travail.

Il souris quand elle rigola, assez fortement. Avait il dit quelque choses n'étant pas dans ses intentions ? Sûrement... Qu'arriverait il a tous ceux qui ne pourrait pas avoir le repos si les Volturi venait ici , détruire tout sur le passage ?

" Pour garder un oeil sur les Cullen, je suppose ? "

Il avait l'esprit vif, et comprenait rapidement les intentions de chacun, avec ou sans télépathie. Il soupira...

" Si tel sont vos volonté pour votre garde... Je ne vois pas pourquoi je n'en ferais pas partie... "

Dit il, un sourire sadique, inconnu de la vue de la dame. Elle aussi souris rapidement a ses paroles... De toute façon, croyait vous qu'il remplira a cents pour cent sa tache ? Il peut servir, mais pas dans le plus profond de son âme.

" Quel honneur... Je me dois d'accepter, car je ne me vois pas vous blesser en refusant... "

En quelques seconde sa sensualité avait refait réaparition. Il était a l'affut de tout bruits en se moment même. Quelqu'un vint toquer, Joseph se précipita, voir qui c'était donc... Eric... Super. Quelques mots echangé, et il parté...

- Je suis contente de votre décision

Elle eut un sourire ravissant. Sulpicia arrêta net toute marque d'attirance et elle se recula de deux pas.

- Notre entretien prend donc fin. Je vous dit à plus tard.

La Reine se dirigea vers la porte. Elle posa une main sur la clinche. Réfléchissant pour ne pas paraitre trop froide, elle fit volte face et se rapprocha du vampire. Elle déposa un baiser distant sur la jour de Joseph. Elle se recula et dit avec un ton séducteur.

- J'espère vous revoir bientôt

Sulpicia Volturi disparu alors comme elle était venue avec la satisfaction d'avoir créé sa garde privée...

RAPPEL

Le topic est terminé je le verrouille ;D

Belle j'ai édité Very Happy

» Joseph Mecheals Davis
» Savez vous compter??
» Petit rendez vous. [ Ma femme :p ]